Théo& Hugo dans le même bateau d’Olivier Ducastel et Jacques Martineau Dans un sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l’emportement du désir et l’exaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes, dégrisés, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent à leur amour Bonus Entretiens et avant première Essais des comédiens / Galerie photo Bio-filmographie du réalisateur Bande annonce Critiques presse Ouvert par une magnifique séquence érotique, un film à la puissance empreinte de grâce. » Le Monde Un pari réussi, entre images électrisantes et déambulation nocturnes. » L’Humanité Le film le plus osé formellement des réalisateurs, offrant de subtils et délicats moments. » Libération Une œuvre émouvante et enjouée. » Sud-Ouest Un superbe exercice de mise en scène, un regard franc et généreux sur l’amour gay, un hymne à la jeunesse de deux garçons d’aujourd’hui et à celle, éternelle, du cinéma. » Télérama L’espoir existe. Théo et Hugo raconte la naissance de l’amour au beau moment où le jour se lève. » Les Inrockuptibles Fiche technique Réalisateur/Auteur/Interprète Olivier Ducastel et Jacques Martineau Année 2016 Pays France Durée 97 minutes Langues Français-Anglais Sous-titres Français malentendants, Anglais Audio Dolby Digital et Acteur 1 François Nambot Acteur 2 Geoffrey Couët Àpropos Théo et Hugo dans le même bateau DRAME Dans un sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l’emportement du désir et l’exaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes dégrisés, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent à leur amour naissant. 92 %
Accueil Cinéma Théo & Hugo dans le même bateau, une romance gay dans Paris... Théo & Hugo dans le même bateau, Copyright Ecce Films Passées les 20 minutes très explicites et presque brutales, Théo et Hugo dans le même bateau navigue sur les eaux du film d’auteur. Discussions, passion, circonvolutions, les deux héros tournent autour de la peur du Sida et de leur quotidien somme toute banal. Si le démarrage met tout de suite dans le bain, le film se concentre surtout sur une romance gay qui ouvre au monde. Un film touchant et intimiste. Théo et Hugo fréquentent les back rooms parisiennes sordides, aux échanges immédiats et sans pincettes. C’est pourtant au coeur de cet amas de chair en fusion qu’ils se rencontrent, dans une fulgurance magnifiée par le sexe, mais au-delà du simple plaisir charnel. Les réalisateurs insistent sur les regards. Geoffroy Couët et François Nambot se dévorent du regard, le crush est palpable. Le reste de l’univers n’existe plus, les autres protagonistes de l’orgie sont relégués au second plan. La chair ne fait relayer que l’information de l’épiderme au coeur, du coeur au cerveau, le reste n’est que philosophie. C’est pourtant dans ce moment hors du temps que le drame survient. Un des deux partenaires est séropositif, exposant l’autre aux affres de la maladie, de la trithérapie, de la différence. C’est sur ces bases bancales que débute une histoire d’amour toute en retenue et en confidences. Les deux amants traversent Paris, se frôlant, se fuyant mais se retrouvant toujours, comme deux amants irrésistiblement attirés l’un par l’autre. Malgré la peur de la contamination, malgré les différences, les deux hommes déambulent dans les rues et échangent leurs confidences à coeur ouvert, révélant leur soif de l’autre et leur solitude. Ne pas se laisser heurter par un début très cru et frontal. Les héros cherchent le contact et l’extase comme des portes de sortie. En se trouvant, ils rentrent dans une nouvelle phase de leur vie, éperdument. Le film est avant tout le récit d’une rencontre, d’un coup de foudre entre deux hommes. La nuit est leur témoin et leur irrésistible attraction ne pose aucune question, comme une évidence. Et si le bateau doit voguer sur des eaux troublées, ils l’acceptent de bon coeur. Olivier Ducastel et Jacques Martineau livrent un opus tour à tour brutalement explicite puis magiquement onirique. Théo et Hugo font partie de cette jeunesse avide d’amour et d’avenir, tout simplement. [vc_text_separator title= »SYNOPSIS ET INFOS » color= »custom » border_width= »5″ accent_color= »1e73be »]Dans un sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l’emportement du désir et l’exaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes, dégrisés, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent à leur amour naissant. Sortie le 27 avril 2016 Durée 1h37 Réalisateur Olivier Ducastel, Jacques Martineau Avec Geoffrey Couët, François Nambot, Mario Fanfani Genre Drame [vc_text_separator title= »BANDE ANNONCE » color= »custom » border_width= »5″ accent_color= »1e73be »]
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-16 HD Drame 1 heure 36 minutes 2016 4,7 • 6 notes Dans un sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l’emportement du désir et l’exaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes dégrisés, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent à leur amour naissant. Louer 3,99 € Acheter 9,99 € Dans un sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l’emportement du désir et l’exaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes dégrisés, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent à leur amour naissant. Louer 3,99 € Acheter 9,99 € Bande-annonce Distribution et équipe technique Informations Studio Ecce Films Genre Drame Sortie 2016 Copyright © 2016 Ecce Films Langues Principale Français Dolby, Stéréo D’autres ont aussi acheté Films inclus dans Drame
\n\n\n \n \n\ntheo et hugo dans le meme bateau
Filmannonce de Théo et Hugo dans le même bateau - sortie le 27 avril
Dans un sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l’emportement du désir et l’exaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes, dégrisés, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent à leur amour naissant.
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Synopsis Dans un sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l’emportement du désir et l’exaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes dégrisés, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent à leur amour naissant.
Mêmesi Benjamin Bonzi (50ème mondial), Hugo Gaston (71ème mondial) en simple, puis Hugo Nys (61ème mondial), Fabien Reboul (71ème mondial), Sadio Doumbia (76ème mondial), en double seront absents, étant à New York pour l’US Open, nos espoirs locaux ont les moyens de faire de bons résultats. Il va y avoir du grand spectacle.
De Olivier Ducastel et Jacques Martineau Avec Geoffrey Couët, François Nambot, Mario Fanfani, Bastien Gabriel Année 2016 Pays France Genre Drame Résumé Dans un sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l’emportement du désir et l’exaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes, dégrisés, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent à leur amour naissant. Avis Ducastel et Martineau est un duo de réalisateurs français dont le cinéma séduit énormément. Arrivé sur nos écrans en Avril 1998 avec Jeanne et le garçon formidable , le duo s’est fait, discrètement mais assurément, sa petite place. Sans que leurs films soient révolutionnaires, ou même très populaires, le duo arrive tout même à proposer de nouveaux films régulièrement. Ainsi, courant 2000, on aura pu se délecter devant Drôle de Félix , Crustacés et Coquillages » ou Né en 68 . Leur dernier film, L’arbre et la forêt , datait de 2010. Il aura donc fallu patienter six ans avant de ravoir des nouvelles du duo. L’homosexualité est un sujet qui leur tient à cœur et c’est de manière très régulière que le cinéma de Ducastel et Martineau est souvent peuplé de personnages gays. Mais si Ma vraie vie à Rouen » et Crustacés et Coquillages » abordaient la découverte de ce sentiment, que L’arbre et la forêt » voyait Guy Marchand » cacher ce sentiment, les deux réalisateurs n’avaient jamais fait un vrai film d’amour. Avec Théo et Hugo dans le même bateau , ce sera chose faite. Et ce film sera le plus osé du duo notamment grâce, ou à cause, de son ouverture fascinante, hypnotique et très très chaude ! Paris, un peu plus de trois heures du matin, Théo est à l’Impact, une backroom près de Chatêlet. Là, au milieu des corps qui s’embrassent, Théo n’a d’yeux que pour Hugo. Quand il ose enfin l’approcher, entre les deux garçons, il se passe quelque chose. Ensemble, à ce moment, ils ne baisent pas, ils font l’amour, ils créent de l’amour. Mais ce moment magique va très vite laisser place à la réalité une fois sortie du sex club. Théo et Hugo dans le même bateau , on ne va pas se mentir, c’est tout d’abord une scène d’ouverte exceptionnelle de par son ambiance chaude, terriblement érotique, sans tomber dans la perversité. Un résultat qui est assez bluffant, vu l’endroit où se déroule cette scène, au milieu de cette immense orgie. Les deux réalisateurs ont su trouver le ton juste, presque pudique tout en montrant presque tout pour que cette scène soit d’une poésie fascinante, qu’elle soit intense, vraie, tendre, charnelle et passionnée. L’esthétisme est surprenant et chaud. Bercé dans une lumière tantôt bleue, tantôt rouge, accompagnée par une bande originale électro, on se laisse librement entraîner dans cet endroit si particulier. Mais voilà, une fois sorti de cet endroit et cette ambiance incroyable, Théo et Hugo dans le même bateau » va être un film qui a tendance à tanguer entre les vrais moments de grâce et d’autres plus embêtant. Pour leur nouveau film, Duscatel et Martineau nous racontent donc un coup de foudre et une possible relation qui va être très vite mise à l’épreuve. Théo et Hugo … » est un film qui est très intéressant à plus d’un titre. Premièrement, parce qu’il nous raconte le début d’une belle relation autrement, ce qui change et ça fait du bien. Ensuite, il aborde de vrais thèmes dont on ne parle plus tant que ça ces dernières années, comme le Sida, sa propagation, les rapports sexuels, la protection, l’information et la confiance, des sujets que le duo aborde de manière frontale, parfois de manière crue, mais tout en gardant en permanence une part de pudeur. On sent que derrière tout ça, il y a quelque chose de sincère venant de la part des deux réalisateurs. Mais voilà, ce qui est un joli point est aussi l’un des principaux défauts de leur film. Car si Théo et Hugo … » délivre un bon message de prévention on en fait jamais trop d’ailleurs, il manque cruellement de subtilité et bien souvent, à force d’appuyer telle ou telle chose, il finit par ressembler à une grande pub pour Sida info service. Certes, le message passe et l’on apprendra même certaines choses par exemple, le traitement choc après une prise de risque, mais on aurait apprécié que cela fasse moins tract publicitaire, car même si l’on est emporté par les deux personnages, par leurs charmes, leur passion naissante et fauchée, on ne peut s’empêcher de sortir du film à certains moments. Et c’est vraiment dommage, car le reste du film est bon. Le charme entre les deux acteurs opère. Théo et Hugo sont beaux ensemble, même si parfois ils ont des réactions quelque peu étranges, ils arrivent sans aucun mal à nous faire croire à leur histoire, belle et triste, mais toujours pleine d’espoir. Les deux acteurs Geoffrey Couët et François Nambot, qui tiennent là leur premier grand rôle pour le cinéma, s’en sortent avec les honneurs pour des rôles qui ne sont pas forcément très évidents. Et même si parfois on les sent un peu fébriles, en retenu, leurs charmes opèrent et on leur pardonne, on se laisse transporter. On se laisse transporter aussi pas les dialogues d’une justesse magnifique que Duscatel et Martineau ont écrits. Des dialogues touchants, tendres, parfois injustes, d’autres fois durs, un peu théâtraux aussi, et même si certains sont mal placés et manquent de subtilité sida info service bonjour, on a envie d’effacer le tout, pour ne garder que la sincérité de ce couple qui finalement est touchant face la difficulté qu’il rencontre. Théo et Hugo … » est donc un beau film dans son fond, intéressant, osé et doté de plans magnifiques dans les rues d’un Paris étrange, poétique et seul un peu comme leur rencontre, où il n’y a plus qu’eux finalement au milieu de cette orgie … . C’est un film qui a ses défauts, qui est lourd parfois, appuyant trop sur son message, mais en fin de compte, on ressort charmé par ce couple, ses acteurs, leurs histoires et leurs rencontres et c’est déjà très bien. C’est un film qui est intéressant d’aller voir, et ça même si l’on n’est pas gay, car leur histoire est universelle, les deux réalisateurs ne sont pas tombés dans les clichés gays ou le clientélisme et c’est très bien. Note 14/20 [youtube] Par Cinéted
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