NINO ROTA 1911 – 1979La Strada – suite du ballet 1966ENNIO MORRICONE 1928 – 2020Il était une fois la révolution – thème principal 1971 Marcia Degli Accattoni du film Il était une fois la révolution 1971Mia Madre Si Chiama Francesca du film La Moglie Più Bella 1970Il était une fois dans l’Ouest 1968Indagine su un cittadino al di sopra di ogni sospetto arr. Matthias Keller 1970NINO ROTA 1911 – 1979Le Parrain – suite symphonique 1972—Katrien Baerts, sopranoJulia Deit-Ferrand, mezzo-sopranoSylvain Tolck, trompettePascal Pons, harmonicaIngénieur du son Colin RoquierÉclairagiste Jean-Philippe RoyENSEMBLE LA SESTINAORCHESTRE DES JARDINS MUSICAUXDirection Valentin Reymond—CONCERT D’OUVERTUREVirtuose hors normes au style inimitable, Ennio Morricone est un artiste aussi inventif que productif. Le maestro italien restera, avec Nino Rota, l’un des plus grands compositeurs pour le cinéma. Lors du Festival de Cannes de 1971, Morricone raconta que Sergio Leone était peut-être le seul metteur en scène permettant au compositeur de s’exprimer totalement ». Sa collaboration avec le réalisateur italien pour Il était une fois dans l’Ouest dont l’harmonica a marqué l’histoire du cinéma a donné naissance à certaines de ses musiques les plus fascinantes. Les compositions de Morricone génèrent le suspense, subliment l’émotion et contribuent largement à la reconnaissance de chefs-d’oeuvre nom de Nino Rota est indissociable de celui de Fellini. Le ballet La Strada est une commande de la Scala de Milan. Cette partition immortelle résume à elle seule le génie de Rota. Quant à la partition du Parrain, elle reste dans toutes les oreilles, profanes ou professionnelles…Avec l’aimable autorisation des Éditions Ricordi et du European FilmPhilharmonic Institute – EFPILantenne horizontale, en forme de boucle, est utilisée pour faire varier le volume selon sa distance à la main gauche. Et cela donne ça, ce morceau de la musique extraordinaire d’Ennio Morricone » Il était une fois dans l’Ouest » joué sur un thérémine par Katica Illenyi. Pour voir l’inventeur jouer de cet instrument cliquez ici.
Culture Western. De Sergio Leone, avec Henry Fonda, Charles Bronson, Claudia Cardinale... Henry Fonda et Charles Bronson © DR Un quai de gare, planté en plein désert. Le silence assourdissant est à peine troublé par des insectes inopportuns et le grincement de moulins abandonnés. Trois hommes, habillés de longs manteaux, attendent l'arrivée d'un train et d'un mystérieux joueur d'harmonica... La longue séquence d'ouverture d'Il était une fois dans l'Ouest fait partie des scènes 100 % cultes de l'histoire du cinéma. Des générations successives de spectateurs ont succombé à son charme inquiétant et certains metteurs en scène majeurs d'aujourd'hui en premier lieu Quentin Tarantino y ont puisé l'essentiel de leur inspiration. Dans Il était une fois dans l'Ouest, Sergio Leone déploie son art inimitable de la dilatation du temps, du suspense, de l'atmosphère poisseuse. Objectif ? Déconstruire les figures usuelles du western classique, notamment avec le personnage incarné par Henry Fonda, ex-héros mythique transformé ici en salaud de la pire espèce... À la fois histoire d'une vengeance et portrait au vitriol de l'Amérique moderne à l'heure de sa naissance, Il était une fois dans l'Ouest est l'un des nombreux sommets de la carrière de Leone. Le film ressort en copie neuve et il n'a pas pris une seule ride. Vous avez dit indispensable ? REGARDEZ la bande-annonce du film envoyé par . - Les dernières bandes-annonces en ligne. Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimité Vous lisez actuellement Il était une fois dans l'Ouest, le western culte 1 Commentaire
IlĂ©tait une fois dans l'Ouest, un film de Sergio Leone | Synopsis : Frank, un pistolero Ă la dĂ©tente facile, utilise ses dons pour accaparer la richesse des autres. Il se sait menacĂ© par un homme qui le poursuit inlassablement, sans pour cela en connaĂ®tre la raison. Un air d'harmonica il y a bien longtemps. avec Henry Fonda,Claudia Cardinale,CharlesAprès avoir cĂ©lĂ©brĂ© un autre Sergio en juillet dernier Sergio Corbucci, auteur de nombreux westerns spaghettis, la CinĂ©mathèque française prĂ©sente une vaste rĂ©trospective consacrĂ©e Ă Sergio Leone Il Ă©tait une fois Sergio Leone » jusqu'au 27 janvier 2019. Le rĂ©alisateur italien n'a pourtant tournĂ© que sept films en vingt-huit ans huit si l'on compte le pĂ©plum Les Derniers Jours de PompĂ©i, corĂ©alisĂ© avec Mario Bonnard en 1959. Ă€ cette occasion, on pourra redĂ©couvrir tous ses longs-mĂ©trages, mais aussi ceux qu'il a produits. Les festivitĂ©s commencent ce mercredi avec la projection Ă 20 heures de Il Ă©tait une fois dans l'Ouest dans la grande salle Henri-Langlois. Ce chef-d'Ĺ“uvre ressort Ă©galement en salle dans une version numĂ©rique restaurĂ©e, supervisĂ©e par Martin Scorsese. Enfin, il sera projetĂ© Ă quatre reprises au Festival Lumière de Lyon qui s'ouvre samedi 13 octobre. Histoire de fĂŞter comme il se doit le cinquantième anniversaire de C'era una volta il West sorti tout d'abord en Italie, en dĂ©cembre 1968 et de saluer la mĂ©moire du cinĂ©aste, fauchĂ© par une crise cardiaque au printemps 1989, alors qu'il avait Ă peine 60 ans. Il faut revenir sur la genèse et la conception de Il Ă©tait une fois dans l'Ouest, qui marque une nouvelle Ă©tape dans la carrière de Leone. En effet, le rĂ©alisateur a rĂ©volutionnĂ© un genre en transformant les règles et en dĂ©tournant les codes du western traditionnel avec sa trilogie du dollar », qui comprend Pour une poignĂ©e de dollars 1964, Et pour quelques dollars de plus 1965 et Le Bon, la Brute et le Truand 1966. Il a fait aussi de Clint Eastwood une star mondiale en le rĂ©vĂ©lant dans le rĂ´le de l'Homme sans nom, le pistolero nonchalant et taciturne. Leone arrive donc Ă la fin d'un cycle. Et se refuse Ă signer un autre western, considĂ©rant qu'il a fait le tour de la question en trois ans. La Paramount, qui va coproduire Ă grands frais son prochain film, lui laisse carte blanche. Mais elle tient absolument Ă ce qu'il tourne un ultime western – condition sine qua non pour que le studio amĂ©ricain finance son projet. C'est donc Ă contrecĹ“ur que le barbu reprend une dernière fois la route de l'Ouest. Ă€ l'Ouest, enfin du nouveau Pour se renouveler, il dĂ©cide de s'entourer de deux jeunes cinĂ©philes passionnĂ©s il demande Ă Dario Argento, qui Ă©tait alors critique de cinĂ©ma au quotidien Paese Sera, et Ă Bernardo Bertolucci, que Sergio a rencontrĂ© par hasard Ă la toute première projection de Le Bon, la Brute et le Truand, au Supercinema de Rome, le 23 dĂ©cembre 1966, de participer Ă l'Ă©laboration du scĂ©nario. Au printemps 1967, le trio se lance dans l'Ă©criture d'un premier traitement. Pour Il Ă©tait une fois dans l'Ouest, Bertolucci suggère Ă Leone de relever un nouveau dĂ©fi en crĂ©ant pour la première fois dans son Ĺ“uvre un vrai personnage fĂ©minin. Ce sera Jill Claudia Cardinale, la putain au grand cĹ“ur qui arrive de la Nouvelle-OrlĂ©ans en croyant refaire sa vie. Elle tiendra un rĂ´le dĂ©terminant dans le film et sera au centre de l'histoire. Leone souhaite aussi rendre hommage Ă tous les westerns amĂ©ricains qu'il vĂ©nère. Tout en remettant en question l'histoire de l'Ouest fondĂ©e sur des mythes mensongers et un rĂ©visionnisme alimentĂ© par le cinĂ©ma. En effet, son approche se veut plus rĂ©aliste et fidèle Ă la rĂ©alitĂ© historique. Après avoir dĂ©frichĂ© le scĂ©nario et trouvĂ© la trame, l'Ă©quipe accouche d'une intrigue qui sera retravaillĂ©e et mise en forme par Sergio Donati. Henry Fonda, le tueur sadique aux yeux bleus Muni d'un budget de 3 millions de dollars, Leone entreprend le casting de sa fresque grandiose. Il souhaite au dĂ©part Clint Eastwood dans le rĂ´le principal. Mais ce dernier est dĂ©jĂ reparti aux États-Unis et refuse de tourner un quatrième western avec lui. Charles Bronson le remplace donc dans la peau de l'Homme Ă l'harmonica, un personnage solitaire, Ă©nigmatique et silencieux, animĂ© par un dĂ©sir de vengeance. Aux cĂ´tĂ©s du mĂ©tis, le grand acteur de théâtre Jason Robards joue le bandit Cheyenne. Mais c'est Henry Fonda qui va crĂ©er la plus grande surprise de la distribution dans un rĂ´le Ă contre-emploi celui du vilain Frank, un tueur glacial au visage impassible qui abat froidement un enfant dès sa première apparition Ă l'Ă©cran ! Pour interprĂ©ter un tel mĂ©chant, il me fallait quelqu'un qui avait toujours personnifiĂ© la bontĂ© et l'innocence », a dĂ©clarĂ© Leone Ă propos de l'acteur, qui avait incarnĂ© toute sa vie des dĂ©fenseurs de la veuve et de l'orphelin. Mais, cette fois, le pur hĂ©ros fordien reprĂ©sente le mal absolu. Avec son regard bleu perçant et cruel, Fonda est terrifiant dans le rĂ´le de ce tueur Ă gages qui porte un long manteau de cuir fauve. Un cache-poussière qui lui confère une allure menaçante. Le tournage commence en avril 1968 aux studios de CinecittĂ , Ă l'extĂ©rieur de Rome, puis dans la province d'AlmerĂa, en Espagne. Les prises de vue se poursuivent sur le site historique de Monument Valley, en Arizona, sur les lieux mĂŞmes oĂą l'idole de Leone, John Ford, a tournĂ© des classiques comme La ChevauchĂ©e fantastique 1939 et La Prisonnière du dĂ©sert. Ce qui fait de Il Ă©tait une fois dans l'Ouest le premier western europĂ©en filmĂ© hors d'Italie ou d'Espagne. Sur le plateau, le rĂ©alisateur diffusait la partition lyrique de son fidèle compositeur Ennio Morricone, qui avait Ă©crit Ă l'avance la musique du film ! Les comĂ©diens se dĂ©plaçaient du coup au rythme de cette magnifique BO, qui rĂ©sonnait comme un Ă©cho lointain au milieu des canyons. Le clap de fin fut donnĂ© en juillet 1968. Un grand opĂ©ra baroque et funèbre Il Ă©tait une fois… eut beaucoup de succès en Europe et au Japon, mais fut un dĂ©sastre aux États-Unis. Le public trouva le film trop lent. Et sans humour. Le scĂ©nario ne comprend en effet que seize pages de dialogues sur les deux heures quarante-cinq que dure le film ! Raccourci de vingt-deux minutes pour le marchĂ© amĂ©ricain, il sortira en version longue dans le reste du monde. Et notamment en France, le 27 aoĂ»t 1969. Avec près de 15 millions d'entrĂ©es en salle, il reste aujourd'hui le septième plus grand succès de l'histoire du box-office français, derrière Autant en emporte le vent. Mais devant Avatar ! Dans cet opĂ©ra de la violence oĂą le temps s'Ă©tire Ă l'infini, Leone montre la naissance d'une nation et la mort annoncĂ©e du vieil Ouest, dont le film dĂ©crit la lente agonie et la mutation vers le XXe siècle. Avec l'appropriation des terres que traverse la construction du premier chemin de fer transcontinental, il met en lumière l'aviditĂ© du capitalisme amĂ©ricain, qui emploie des mĂ©thodes criminelles pour favoriser ses intĂ©rĂŞts les hommes de main d'une compagnie ferroviaire sont chargĂ©s de se dĂ©barrasser des colons rĂ©calcitrants, qui gĂŞnent la progression des travaux. Le cheval de fer, qui relie la cĂ´te atlantique Ă la cĂ´te pacifique, reprĂ©sente ici la nouvelle ère du boom Ă©conomique et la fin de la frontière. Avec ce chant funèbre, Sergio donne les derniers sacrements au western et signe un ballet de morts, une grande symphonie visuelle, un requiem. Ce grand styliste se fend aussi de l'une des plus belles sĂ©quences d'ouverture de l'histoire du cinĂ©ma le premier quart d'heure muet du film oĂą trois tueurs attendent l'arrivĂ©e d'un train sur un quai de gare dĂ©sert. Avec, en fond sonore, le cliquetis du tĂ©lĂ©graphe. La roue d'une Ă©olienne qui grince. Des gouttes d'eau qui tombent sur le rebord d'un chapeau. Le bourdonnement exaspĂ©rant d'une mouche qui voltige autour d'un cowboy. Et les vibrations d'un harmonica, qui flanquent la chair de poule ! Avec ce film contemplatif, Ă la manière du cinĂ©ma japonais, le cinĂ©aste a surtout entamĂ© le premier volet d'une nouvelle trilogie lĂ©onienne, qui se poursuivra avec Il Ă©tait une fois la rĂ©volution, en 1971, et Il Ă©tait une fois en AmĂ©rique, en 1984. Cinq ans après Il Ă©tait une fois dans l'Ouest, Sergio fera de nouveau appel Ă Henry Fonda pour l'une de ses productions, Mon nom est personne 1973, un western loufoque avec Terence Hill. Et, trois ans après sa mort, Clint Eastwood va dĂ©dier Impitoyable 1992 Ă la mĂ©moire de son mentor et ami. Aujourd'hui, le plus grand fan du rĂ©alisateur transalpin, Quentin Tarantino, lui rend directement hommage en intitulant son prochain film… Il Ă©tait une fois Ă Hollywood. Ă€ lire Sergio Leone – Quelque chose Ă voir avec la mort de Christopher Frayling Institut Lumière-Actes Sud.
Alorsqu’Il était une fois dans l’Ouest vient de fêter ses 50 ans, le moment est idéal pour revenir sur sa formidable force, et les raisons qui font de ce western crépusculaire l’un des sommets de la carrière du maître italien du western : Sergio Leone. Synopsis : Alors qu’il prépare une fête pour sa femme, Bet McBain est tué avec ses trois enfants.À l'occasion de la diffusion du film culte Il était une fois dans l'Ouest dimanche 16 janvier 2022, à partir de 21h05 sur W9, Télé Star vous dévoile comment ce long-métrage a entraîné une brouille entre Sergio Leone et Clint au cinéma en 1969, le western culte Il était une fois dans l'Ouest, porté par Charles Bronson, Claudia Cardinale, Henry Fonda et Jason Robards, sera rediffusé dimanche 16 janvier 2022, à partir de 21h05 sur W9. Réalisé par Sergio Leone, ce long-métrage se déroule lors de la conquête de l'Ouest américain. Il évoque l'âpre rivalité des intérêts pour l'appropriation des terres que traverse la construction du chemin de fer, et met en scène différents personnages représentatifs des westerns classiques, pour mieux les film décrit deux conflits se déroulant à Flagstone, une ville fictive de l'Ouest américain. D'une part la lutte autour de l'arrivée du chemin de fer dans la ville, et d'autre part la vengeance d'un homme contre un tueur froid et sanguinaire. Devenu instantanément culte, ce long-métrage fut un immense succès en Italie et dans toute l'Europe, mais c'est en France que le film de Sergio Leone a eu le plus d'impact. Il s'est classé à la première place du box-office cette année-là , ainsi que sur l'ensemble de la décennie. Au total, il a été vu par près de 15 millions de spectateurs durant son exploitation dans les cinémas de l'hexagone. Ce western fut durant de très nombreuses années le 3ème plus grand succès de l'histoire du cinéma en France, derrière Titanic et La Grande était une fois dans l'Ouest Clint Eastwood refuse d'apparaître dans le filmÉgalement réalisateur d'un autre western culte, Le Bon la Brute et le Truand, Sergio Leone avait demandé aux 3 vedettes de ce film, à savoir Clint Eastwood, Eli Wallach et Lee Van Cleef, d'être les 3 tueurs qui attendent "l'homme à l'harmonica" à la gare au début de ce long-métrage. Des 3 acteurs, seul Clint Eastwood, en raison de sa notoriété grandissante, a refusé la proposition du cinéaste, car son personnage mourrait dès le début du film. Cette décision du comédien fut à l'origine d'une très longue brouille avec le réalisateur. Ils se reverront finalement une dernière fois 20 ans plus tard, peu avant la mort de Sergio Leone. Inscrivez-vous à la Newsletter de pour recevoir gratuitement les dernières actualités © PARAMOUNT PICTURES / RAFAN CINEMATOGRAFICA 2/12 - IL ETAIT UNE FOIS DANS L'OUEST C'ERA UNA VOLTA IL WEST / ONCE UPON A TIME IN THE WEST IL ETAIT UNE FOIS DANS L'OUEST DE SERGIO LEONECHARLES BRONSON © PARAMOUNT PICTURES / RAFAN CINEMATOGRAFICA 3/12 - IL ETAIT UNE FOIS DANS L'OUEST C'ERA UNA VOLTA IL WEST / ONCE UPON A TIME IN THE WEST IL ETAIT UNE FOIS DANS L'OUEST DE SERGIO LEONEHENRY FONDA © PARAMOUNT PICTURES / RAFAN CINEMATOGRAFICA 4/12 - IL ETAIT UNE FOIS DANS L'OUEST C'ERA UNA VOLTA IL WEST / ONCE UPON A TIME IN THE WEST IL ETAIT UNE FOIS DANS L'OUEST DE SERGIO LEONECHARLES BRONSON © PARAMOUNT PICTURES / RAFAN CINEMATOGRAFICA 5/12 - IL ETAIT UNE FOIS DANS L'OUEST C'ERA UNA VOLTA IL WEST / ONCE UPON A TIME IN THE WEST IL ETAIT UNE FOIS DANS L'OUESTDE SERGIO LEONE © PARAMOUNT PICTURES / RAFAN CINEMATOGRAFICA 6/12 - IL ETAIT UNE FOIS DANS L'OUEST C'ERA UNA VOLTA IL WEST / ONCE UPON A TIME IN THE WEST IL ETAIT UNE FOIS DANS L'OUEST DE SERGIO LEONE HENRY FONDACHARLES BRONSON © PARAMOUNT / RAFRAN / SAN MARCO 7/12 - IL ETAIT UNE FOIS DANS L'OUEST C'ERA UNA VOLTA IL WEST IL ETAIT UNE FOIS DANS L'OUEST DE SERGIO LEONE HENRY FONDA CHARLES BRONSON JASON ROBARDS CLAUDIA CARDINALE GABRIELE FERZETTI KEENAN WYNN FRANK WOLFF PAOLO STOPPAJACK ELAM © PARAMOUNT / RAFRAN / SAN MARCO 8/12 - IL ETAIT UNE FOIS DANS L'OUEST C'ERA UNA VOLTA IL WEST IL ETAIT UNE FOIS DANS L'OUEST DE SERGIO LEONE HENRY FONDA CHARLES BRONSON JASON ROBARDS CLAUDIA CARDINALE GABRIELE FERZETTI KEENAN WYNN FRANK WOLFF PAOLO STOPPAJACK ELAM © PARAMOUNT / RAFRAN / SAN MARCO 9/12 - IL ETAIT UNE FOIS DANS L'OUEST C'ERA UNA VOLTA IL WEST IL ETAIT UNE FOIS DANS L'OUEST DE SERGIO LEONE HENRY FONDA CHARLES BRONSON JASON ROBARDS CLAUDIA CARDINALE GABRIELE FERZETTI KEENAN WYNN FRANK WOLFF PAOLO STOPPAJACK ELAM © PARAMOUNT / RAFRAN / SAN MARCO 10/12 - IL ETAIT UNE FOIS DANS L'OUEST C'ERA UNA VOLTA IL WEST IL ETAIT UNE FOIS DANS L'OUEST DE SERGIO LEONEHENRY FONDA © PARAMOUNT PICTURES / RAFAN CINEMATOGRAFICA 11/12 - IL ETAIT UNE FOIS DANS L'OUEST C'ERA UNA VOLTA IL WEST / ONCE UPON A TIME IN THE WEST IL ETAIT UNE FOIS DANS L'OUEST DE SERGIO LEONE CLAUDIA CARDINALE JASON ROBARDSCHARLES BRONSON © PARAMOUNT / RAFRAN / SAN MARCO 12/12 - IL ETAIT UNE FOIS DANS L'OUEST C'ERA UNA VOLTA IL WEST IL ETAIT UNE FOIS DANS L'OUEST DE SERGIO LEONE HENRY FONDA CHARLES BRONSON JASON ROBARDS CLAUDIA CARDINALE GABRIELE FERZETTI KEENAN WYNN FRANK WOLFF PAOLO STOPPAJACK ELAM
VoirFilm 2003 Il Etait Une Fois Jean Sebastien Bach ~ Titre original Il était une fois dans lOuest de la Corse Film Il était une fois dans lOuest de la Corse 07 January 2004 2004 0 TMDb 10 votes Regarder en HD Corse Tzek et Pido sont deux humoristes corses pour le moins connus sur lîle et Il etait une fois dans l ouest de la Corse Il était
Il était une fois dans l'Ouest Séances News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Photos Blu-Ray, DVD Musique Secrets de tournage Récompenses Films similaires note moyenne 4,5 29140 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné Votre avis sur Il était une fois dans l'Ouest ? 829 critiques spectateurs 5 608 critiques 4 159 critiques 3 26 critiques 2 21 critiques 1 7 critiques 0 8 critiques Trier par Critiques les plus utiles Critiques les plus récentes Par les membres ayant fait le plus de critiques Par les membres ayant le plus d'abonnés "Il était une fois dans l'Ouest" incarne par excellence le "Western Spaghetti", mais à la fois le Western classique ! Avec son point de vu sur "la conquête de l'Ouest Américain" et sa critique de l'expansion des chemins de fers et de la colonisation, ce film enterre d'une certaine manière le mythe du Western Hollywoodien. Mais c'est aussi un sommet du genre, Sergio Leone sublime son film par sa mise en scène, qui atteint son paroxysme, et avec ça, tous les ingrédients d'un chef d'oeuvre du maître réunis ; gros plans à foison, suspenses grandioses, gueules patibulaires, musique magistrale signée Morricone... Qui n'a jamais chantonné ou siffloté le culte et terrible "Ouin, ouin ouiiin, ouiiiiin" de l'homme à l'harmonica, alias Charles Branson ?! Cette musique est, comment dire... MAGISTRALE, REMARQUABLE, GRANDIOSE... Oui, c'est ça ! Tous les acteurs sont stupéfiants ; Charles Bronson, le vengeur à l'harmonica, Henry Fonda, le méchant diabolique, sadique, terrifiant, génial !, Claudia Cardinale, qui apporte un peu de féminisme et de délicatesse dans ce monde d'homme, de brutes, et pour finir Jason Robards, dans le rôle de Cheyenne, un bandidos et aventurier qui n'est pas aussi cruel qu'il le fait penser... Sergio Leone nous passionne, nous émerveille, avec cette ambiance, cette musique, cette mise en scène et ces acteurs ! Il sublime l'Ouest Américain, sa poussière, sa violence, avec ces longues scènes de suspense, à l'image de la première ; quand la bande de bandits attendent l'homme sans nom de l'histoire, l'harmonica ; la mouche, la goutte d'eau, l'éolienne qui bouge doucement en faisant du bruit... Cette séquence est insoutenable et passionnante à la fois ! Elle montre à elle seule toute l'ampleur du génie de Leone. Donc voilà , je crois que c'est assez bien résumé, "Once upon a time in the West", ou "C'erra una Volta il West" est un Western mythique et culte, intemporel, magnifique ; ça fait beaucoup de superlatifs, mais ce film les mérites largement et bien plus encore... Vraiment, je me souviens quand je l'ai vu pour la première fois, j'étais émerveillé, c'était un Western avec un grand W, du Cinéma avec un grand C un chef d'oeuvre !!! Premier volet de la fameuse trilogie de Sergio Leone sur l’histoire américaine ou, pour nous autres français, les "Il était une fois…", ce western est également son dernier "Il était une fois la révolution" n'étant pas, à proprement parlé, un western. D’ailleurs, plus qu’un western, "Il était une fois dans l’Ouest" est un véritable opéra baroque mêlant violence, désespoir, tristesse et un peu de joie quand même. La mise en scène de Leone y est pour quelque chose. Ses gros plans mythiques, ses longues scènes sans dialogue, tout cela contribue à faire entrer ce film dans la légende. Ajoutons à cela des acteurs au sommet Fonda, Bronson, Cardinale, Robards, des dialogues savoureux, une musique d’anthologie du grand Ennio Morricone une de mes préférées et je me demanderai toujours pourquoi elle n’a pas eu l’oscar de la meilleure musique et on obtient le meilleur western jamais réalisé. Avec "C'era una volta il West", Sergio Leone n'hèsite pas à s'attaquer à un scènario complexe et ambitieux, oeuvre d'un jeune auteur de 27 piges dont le nom deviendra rapidement très cèlèbre sur le plan de la mise en scène Bernardo Bertolucci! En tant que scènariste, Dario Argento ètait aussi de la partie! C'est dire! Ce western fabuleux raconte les règlements de comptes entre bandits et fermiers, aventuriers et propriètaires terriens, dans un style hyper brillant, voire endiablè! La distribution amèricano-italienne est sans doute l'une des meilleures qu'on pouvait rèunir à l'èpoque ; elle comprend Charles Bronson / l'homme à l'harmonica, Henry Fonda, Jason Robards dit le Cheyenne » , Gabriele Ferzetti, Paolo Stoppa, Woody Stroode et une Claudia Cardinale juste belle à tomber! En presque 3h, on sent vivre ces personnages comme si l'on passait dix jours avec eux, le roi Leone transformant le western spaghetti en grand spectacle apte à concurrencer les productions de Hollywood! Ennio Morricone, quant à lui, signe une bande son aussi mythique que le duel final entre Bronson et Fonda! C'est donc un incontournable dans l'histoire du cinèma où Leone, spècialiste du western à l'italienne et battant Hollywood sur son propre terrain, a parfaitement rèussi dans ce domaine en signant une oeuvre maîtresse du western spaghetti... Peut-on dire qu'il existe dans le monde du cinéma un western aussi brillant, passionnant novateur et maîtrisé que ce "Il était une fois dans l'Ouest"? Sincèrement, je ne pense pas, et je vais vous dire pourquoi dans cette critique qui s'annonce particulièrement longue, vu le nombre de choses que j'ai à dire sur ce chef d'oeuvre du cinéma. Qualifier ce long-métrage de superbe western serait trop peu dire. Car oui, en effet, " Il était une fois dans l'Ouest" est bien plus qu'un irréprochable film, c'est aussi une oeuvre profonde, recherchée et originale. Vous pourrez essayer de trouver tous les défauts que vous voudrez, vous ne réussirez pas à en déceler un seul chaque plan de caméra, chaque scène, chaque dialogue trouvent leur utilité dans le métrage et sont réellement travaillés. Il n'y a pas à dire, Sergio Leone vient de nous livrer une oeuvre d'art. Pourquoi ce film est-il meilleur, à mon goût, que Le bon, la brute et le truand, par exemple? Tout simplement parce qu'il prend son temps pour nous narrer une histoire criante de réalisme et d'authenticité, à s'en demander si elle n'est pas vraie. Je sais bien que le western que j'ai choisis en exemple prend lui aussi son temps pour raconter son histoire, mais il ne détient pas le même effet dramatique, la même portée cinématographique. Bon, bien sur, c'est une question de goûts; certains préféreront "Le bon, la brute et le truand" mais pour ce qui est de mon cas, je préfère "Il était une fois dans l'Ouest", que je pense, et cela n'engage que moi, plus approfondi dans son sujet et plus original. Attention, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit Le bon, la brute et le truand est très original, mais pas de la même façon que son concurrent direct. Bon, il n'y a pas de réelle concurrence, puisque les deux ont été réalisés par Sergio Leone... Bon, comme cette critique va s'avérer être plutôt longue, je vous invite, si l'envie vous en dit, à voir la suite en cliquant sur le lien ci-dessous, qui vous montrera la parie finale de mon travail sur ce pur chef d'oeuvre qu'est " Il était une fois dans l'Ouest". A mes yeux, c’est LE film de Sergio Leone. Tout y est. Dès l’introduction il y a ce génie de la mise en scène qui se met en place. Il y a également tout le talent d’Ennio Morricone qui nous sort là ce qui restera le morceau le plus mythique du western. Et là encore, je ne parle que de l’intro. Ce film accumule les scènes cultes, les acteurs charismatiques, et surtout, il traduit effectivement tellement ce qu’est l’Ouest américain. Plus qu’une déclaration d’amour à l’Amérique, au genre du western, ou bien même au cinéma, ce film est juste pour moi l’une des expressions les plus abouties de ce qu’est le septième art. Merveilleux. " Il était une fois dans l’Ouest " Western mythique de Sergio Leone .L'histoire se déroule à l’époque du Far West dans l'Ouest américain . Beth McCain un fermier est sauvagement assassiner avec ses enfants par Franck Henry Fonda un homme de main qui travaille pour le compte d'un certain Morton Gabriele Ferzetti . Morton a fait assassiner Beth McCain par Franck pour récupérer ses terres qui ont énormément de valeur depuis que le chemin de fer doit y passer . Jill Claudia Cardinale la femme de Beth McCain hérite alors des terres de son mari et devient très vite la nouvelle cible de Morton et de son bras droit Franck qui veulent récupérer les terres . Elle reçoit de l'aide d'un mystérieux homme à l'harmonica Charles Bronson qui a également un différent avec Franck ... Quelques années après avoir mis en scène trois Western dans sa trilogie culte du dollars ” Pour une poignée de Dollars " , " Et pour quelques Dollars de plus " et " Le Bon , la Brute et le Truand " avec Clint Eastwood en vedette , le réalisateur Sergio Leone avait envie de s’éloigner un peu de l’univers du western pour se consacrer à un projet différent et assez ambitieux celui d’adapter sur grand écran le livre " The Hoods " de l’écrivain Harry Grey une histoire de mafia et de gangster situé dans les années 30 aux États Unis qui deviendra bien des années plus tard le film " Il était une fois en Amérique " . Mais ses producteurs ne l’entendait pas de cette oreille car ils voulaient qu’il continue à réaliser un nouveau Western car c’est ce qui plaisait le plus aux gens à ce moment là et qui rapportait énormément . Sergio Leone très sceptique au début à l’idée de réaliser encore un Western fini finalement , après mûre réflexion , par se laisser convaincre et accepta la proposition à la condition de faire un Western assez différent de ses prédécesseurs , quelque chose d’assez nouveau à l’époque et de beaucoup plus ambitieux par rapport à ses précédents western une sorte de grande fresque se déroulant à l’époque du Far West avec des personnages fort et charismatiques . Il repoussa donc l’adaptation ciné du livre " The Hoods " à plus tard et se lança dans ce Western ambitieux qui aura pour titre " Il était une fois dans l’Ouest " . Et quelle bonne idée il a eu la car il signa avec " Il était une fois dans l'Ouest " l'un des plus grands western de l'histoire du septième art et par la même occasion l’un des plus grands films du cinéma tout genre confondus . Le scénario est géniale et vraiment prenant . L’histoire va nous tenir en haleine jusqu'au bout avec cette femme qui va lutter contre des bandits mener par un tueur impitoyable nommer Franck qui vont tout faire pour lui voler ses terres . Dans sa lutte contre les bandits elle sera aider par un mystérieux homme qui ne lache pas son harmonica fétiche et sa va être explosif ce qui va donner lieu à son lot de tension , de violence , de suspense , de dialogue savoureux , d’humour , d’émotIon et d’action dans une pléiade de scènes cultes graver dans les mémoires la scène d’ouverture à la gare avec les 3 personnages qui attendent le train , le massacre de Beth McCain et de ses gosses , les scènes avec l'homme à l'harmonica , le duel finale ... . Le film dure 3 heures et on ne les absolument pas passé tellement on est pris dans le film . Donc pour ceux qui serait effrayé par la longueur du film je peut vous assurez que les 3 heures passe comme une lettre à la poste . Les acteurs sont tous époustouflant dans leur rôles respectifs avec en tête le trio mythique composé de Claudia Cardinale , Henry Fonda et Charles Bronson . Claudia Cardinale est magnifique dans le rôle de cette femme qui vient de perdre toute sa famille et qui va devoir faire face a des bandits venu lui voler ses terres . Elle illumine le film par sa présence et sa grande beauté . Henry Fonda est tout simplement époustouflant dans le rôle de Franck ce tueur à gage impitoyable qui ne connait ni la pitié , ni la peur ni les remords et qui va tout faire pour récupérer les terres de Claudia Cardinale . Henry Fonda dans le rôle d’un méchant c’était un vrai pari . Il respirait la gentillesse et personne ne le voyait dans un rôle de méchant et encore moins dans un rôle de tueur impitoyable et sans pitié . C’est Sergio Leone qui a vu le potentiel de Henry Fonda pour jouer un méchant et qui décida de lui confier le rôle . Et quelle bonne idée il a eu une fois de plus . Henry Fonda incarne l’un des méchant les plus charismatique et mémorable du 7e art . Lui qui avait l’habitude de jouer des rôles de gentil cassa vraiment son image et montra à tous qu’il avait d’autre corde à son arc et qu’il pouvait jouer d’autres rôles . Et enfin Charle Bronson est juste exceptionnel dans son rôle d'homme à l'harmonica ce personnage mystérieux et intriguant devenu culte qui apporte son aide à Claudia Cardinale pour se débarrasser de Franck et de sa bande de bandits . Jusqu'à la fin du film son personnage est vraiment intriguant car on ne sait pas pourquoi il cherche Franck Henry Fonda jusqu'à la révélation finale assez innatendu . Il est également drôle car il ne se sépare jamais de son Harmonica et quand il a un différent avec quelqu’un au lieu de lui parler ou de l’affronter il joue de la musique ce qui agace fortement ses ennemis et c’est vraiment amusant . Chacun des acteurs déborde de charisme dans leur rôle . Ils donnent vraiment de l'épaisseur à leurs personnages et ils ont l'air si réel . Au niveau du casting c’est une réussite totale . C’est difficile d’imaginer maintenant d’autres acteurs dans leurs rôles . Ils étaient fait pour jouer leurs personnages . La mise en scène de Sergio Leone est exceptionnelle . Lui qui voulait faire quelque chose de novateur on peut dire qu’il a réussit son coup tant il a vraiment renouvelé le genre du Western nottament dans sa mise en scène avec les lenteurs qu'il met dans son film pour faire grimper la tension et accentuer le suspense nottament pendant les duels entre les personnages sur lequel il fait des zoom et qui sont filmé en gros plans . Ses techniques de mise en scène rendent les duels encore plus intense et tendu . La reconstitution du Far West est splendide grâce à de superbes costumes et décors reconstituer dans de magnifique paysages qui nous dépayse totalement . On s’évade avec un énorme plaisir dans cette époque du Far West magistralement reconstitué . La musique de Ennio Morricone est tout simplement mythique et accompagne chaque scènes magistralement nottament pendant les duels entre les personnages dont la musique magistral rendent les duels vraiment intense . La musique à l'harmonica est graver dans les mémoire pour toujour . On peut dire que Sergio Leone qui voulait réaliser un Western différent de tout ce qui se faisait à l’époque et de beaucoup plus ambitieux a largement réussit son pari tant son " Il était une fois dans l’Ouest " est grandiose et est devenu une œuvre majeure du septième art qui connu un immense succès à sa sortie en salle en 1969 il y a 50 ans déjà avec près de 15 millions d'entrées rien qu’en France . Un très grand classique . Sergio Leone est au sommet, et il est prêt à montrer aux États-Unis ce qu'est la violence de l'Ouest américain, il le fait lentement et, sacrilège, avec comme symbole le beau et gentil Henry Fonda dans un rôle d'une grande compte arrêter le western après l'immense Le Bon, la Brute et le Truand et effectivement, il avait déjà tout dit ou presque sur le sujet, l'Amérique lui proposa de mettre à l'épreuve son genre de prédilection, mais cette fois-ci sur les terres de l'Ouest, et repoussa ainsi son faste projet Il était une fois en Amérique. Retrouvant donc les poussières du western, il met en scène un quator de personnages à la croisée des truands face à un mystérieux homme jouant de l'harmonica, l'introduction est déjà mythique et les éléments du cinéma de Leone sont tous là . Caméra souvent braquée au plus près des visages des personnages, des détails qui ont toutes leurs importances, puis le train, la musique et le duel. La suite appartient à la postérité. Leone revisite à sa sauce le mythe du western à l'américaine, les duels, le chemin de fer, le cow-boy solitaire, le truand qui s'évade de prison ou encore un salaud de la pire espère comme une lecture bien personnelle de Leone, qui joue sur la lenteur et les mouvements de caméra, qui nous montre des personnages minés par la mort, celle qu'ils provoquent ou qu'ils subissent. L'atmosphère est certes poussiéreuse, crépusculaire aussi, avec l'avancement du chemin de fer et la fin d'une époque, mais surtout fataliste. Chaque personnage semble connaître son destin et s'apprête à l' colle aussi bien à Il était une fois dans l'Ouest alors que le cinéaste italien joue de toutes ces légendes, et montre aussi ce qu'il considère comme une réalité trop souvent édulcorée dans la vision de l'Ouest par Hollywood. Si la violence passe bien, parfois, par les balles de révolvers, elles sont aussi dirigées par les bureaux et à des fins politiques ou d'expansion. Dans le fond et non la forme, Frank n'est pas pire que Morton, et c'est l'évolution de l'Ouest Américain, la fin d'une époque et le capitalisme dans sa forme moderne qui atteint peu à peu la côte nabab des chemins de fers, les paysages de l'Ouest qui subissent des transformations ou encore l'industrialisation, que ce soit en premier ou arrière-plan, de nombreux pans de l'Histoire américaine passent devant la caméra de Sergio Leone. Comme dans la trilogie du Dollars, il sublime les paysages, ici les grands espaces, les vastes plaines ou les villes en liens avec sa trilogie portée par Clint Eastwood ne s'arrêtent pas là , et on retrouve en partie le schéma d'Et Pour Quelques Dollars de plus. L'Harmonica reprend à la fois le costume de l'homme sans nom, mais aussi celui de Lee Van Cleef qui cherche à se venger de la mort d'un proche, avec l'harmonica remplaçant la montre. Le film bénéficie de l'extraordinaire partition d'Ennio Morricone, qui forme une parfaite alchimie avec les images et participent pleinement à l'atmosphère, faisant d'Il était une fois dans l'Ouest un véritable la caméra, Henry Fonda est surprenant et fantastique en salopard cruel et sans pitié, inoubliable avec ses yeux bleus et sa première apparition fait froid dans le dos. Face à lui, Charles Bronson est impassible en vengeur avec un cœur, cœur qui ne fait pas non plus défaut à un Jason Robards génial en Cheyenne. Claudia Cardianale, au milieu de l'horreur et d'un monde d'homme, est, elle aussi, Leone retourne dans le western qu'il pensait laisser derrière lui et propose avec Il était une fois dans l'Ouest un opéra baroque marquant la fin d'un genre, il en reprend les codes et les cuisine à sa sauce, avec fatalisme, mythologie, mélancolie et cruauté. L'un des meilleurs western du maître en la matière Sergio Leone. La mise en scène est très réussie, les décors et certains plans sont superbes et la BO est tout simplement parfaite, complètement en accord avec le film, parfois légère, parfois angoissante. Écrite bien sur par le compositeur attitré de M. Leone Ennio Morricone qui n'en finit pas de faire des BO d'exceptions. Le casting est prestigieux et les acteurs excellents Claudia Cardinale est magnifique. Le seul film qui donne envie d'apprendre à jouer de l'harmonica. Un chef-d'oeuvre. Il suffit de cette scène inaugurale, dans une gare inquiétante, pour comprendre que le film auquel on a affaire sera immense, et ce, de bout en bout. Une scène d'attente pour commencer, qui dure, existe seulement grâce aux bruits insolites celui d'une mouche, de goûtes d'eau tombant sur un chapeau, etc. et qui capte notre attention parce que son but reste longtemps obscur au final, des coups de feu, brefs mais terribles, à l'image de ceux qui retentissent dans le film. "Il était une fois dans l'Ouest" montre que Leone est moins intéressé par l'idée de filmer la violence dans la durée que de saisir le moment où tout se déclenche, où le long silence indicatif laisse place au son, net et brutal. De ce film sauvage qui condamne ses personnages à une solitude éternelle, on reste sans voix devant cette pure ambition de cinéma, celle de faire de chaque scène un spectacle en soi mais de toujours garder en tête l'idée de l'ouvrir à un horizon encore plus grand, de faire de cette fresque intime et historique une montée en puissance sur le plan dramatique absolument vertigineuse, jusqu'à un duel final anthologique et bouleversant. Fait d'histoires de vengeance au moment où l'Amérique se construit les chemins de fer et d'histoires d'amour impossibles, ce chef-d'oeuvre absolu parvient avec une maestria inégalée à interrompre son souffle tragique et à injecter une dimension comique qui doit autant à l'inventivité des situations qu'à la percussion des dialogues, deux composantes qui ont certainement dû influencer Tarantino. Impossible de ne pas rire devant "Il était une fois dans l'Ouest", mais impossible aussi de retenir ses larmes au moment où Claudia Cardinale arrive à la gare, accompagnée de son thème musical déchirant, ou devant ce plan où sur le trajet en charrette qui suit, Leone filme les grands espaces comme pour dialoguer avec John Ford, au sein d'une proposition de genre radicalement différente. Incarné par un suprême élan lyrique, le film nous emporte tel un torrent sans jamais faiblir avant de nous faire chavirer. Foudroyant ! Que dire de ce monument ....Ces longs silences qui préviennent d 'un moment intense à chaque instant?La bande originale signée Ennio Morricone ?La mise en scène ou les gestes lents dominent en totalité les images d'une grande beauté ..?Après avoir inscrit les codes du western spaghetti dans la trilogie du dollar, Sergio Leone revient pour son film le plus abouti, Il Etait Une Fois Dans L’Ouest où une nouvelle fois il rend hommage aux films de Ford et de Hawks et impose son style de western Leone encore une fois change les codes gros plans sur les visages en sueurs etc...Après sa trilogie du dollar, Sergio Leone réalise son chef d’œuvre ultime, Il Etait Une Fois Dans L’Ouest où l’originalité de sa mise en scène est à son paroxysme et le style scénaristique intelligent. Le genre inspirera de nombreux réalisateurs contemporains Quentin Tarantino par exemple ... Peut-être le plus grand film de Sergio Leone, maître d'un genre pourtant américain jusqu'à son arrivée. Il révolutionne le western en jouant avec ses codes, introduit de l'humour, de la violence, du réalisme et de la magie... Ce que je trouve fascinant dans son oeuvre et en particulier ici, c'est la façon dont il gère le temps. Il fait ce qu'il veut à ce niveau-là , aussi bien capable d'enchaîner un long plan-séquence immobile avec une scène spectaculaire. Mais dans les deux cas, le spectateur est complètement fasciné par cet étrange pouvoir de séduction. Il faut aussi signaler qu'il est aidé par un élément en plus, à savoir la célébrissime musique d'Ennio Morricone. La distribution était encore une fois un coup de maître, d'Henry Fonda à Charles Bronson en passant par Jason Robards et un rôle féminin magnifique Claudia Cardinale!!!. Tout s'apparente à un chef-d'oeuvre mais encore une fois, ce qu'on retient de ce film culte, c'est la maîtrise du temps hallucinante de Leone. Il est le seul à avoir réussi cela, et c'est ce qui fait qu' "Il était une fois dans l'ouest" est un conte unique. Un très grand classique des films du genre western, c'est culte, et ça en restera. La principale raison pour laquelle ce film est culte, c'est pour les musiques qui sont tous simplement inoubliables, il s'agit de la principale raison pour laquelle le film vaut le coup. Franchement, le compositeur de ce film, Ennio Morricone compositeur des films '' Pour une Poignée de Dollars '', '' L'oiseau au plumage de cristal '' et '' Il était une fois en Amérique '' est un grand, rien que pour avoir composé les musiques de ce film. Bon je vais peut être décevoir certains fan du film, mais bon, on est très loin de mon western et de mon film préféré. Mais Sergio Leone a crée un style de western qui a su révolutionner ce genre de film. Mais ce style ne plaira peut être pas à tout le monde, en effet, il faut savoir que Sergio Leone avait parfois tendance à réaliser des films lents. Mais ce western a toutes les qualités qu'il faut pour faire un bon western. Pour commencer, la réalisation de Sergio Leone est superbe, les plans de cameras sont parfaits, et laissent souvent place à de très beaux décors. La scène d'introduction est exceptionnelle grâce à l'exceptionnelle musique composée par Ennio Morricone. Le scénario est excellent, bon il est vrai que c'est le genre d'histoire que l'on voit dans à peu près tous les westerns, mais peu importe, néanmoins ça reste du pur western comme on l'aime. Même si j'ai trouvé le film captivant et très intéressant à suivre, je trouve que certaines scènes sont un peu longues à venir, en effet, j'ai trouvé qu'il y avait quelques passages ennuyeux, mais ça se pardonne vite. Les personnages sont excellents et possèdent des qualités qui peuvent les rendre attachants. Le personnage principal interprété par Charles Bronson est génial, dès le début du film, une histoire de vengeance est en lui, et rend le personnage très intéressant. Les scènes d'actions sont cultes elles aussi, surtout la scène finale qui est magistrale où l'on apprend la révélation finale. Les acteurs sont excellents, Charles Bronson et Henry Fonda sont parfaits et livrent de très belles interprétations. L'histoire se déroule dans une ville fictive de l'Ouest américain lors de la construction du chemin de fer qui relie les deux cotes américaines. Jill, une jeune femme, arrive tout droit de la Nouvelle Orléans pour s'installer chez son nouvel époux, Mc Bain. Cependant en arrivant elle découvre celui ci, ainsi que ses trois enfants, fraichement assassinés. On accuse alors Cheyenne, un bandit renommé et sa bande. Le véritable tueur s'avère en fait être Frank, un homme engagé par Morton, le magnat de la ligne de chemin de fer, qui souhaitait intimider Mc Bain puisque celui-ci possédait les terres sur lesquelles devaient passer le train. Seulement Morton ne s'attendait pas, d'une part à ce que Frank soit aussi radical et d'autre part à ce que la nouvelle femme de Mc Bain arrive et hérite de la propriété. En même temps descend du train un mystérieux homme jouant de l'harmonica. On ne connaît alors pas ses motivations mais il semble animer par la volonté de tuer Frank. En conclusion, '' Il était une fois dans l'Ouest '' est un très grand classique qui a révolutionner le genre western. Du grand Sergio Leone. Un Chef d'Oeuvre, 5/5. Un western mythique du grand Sergio Leone. Même sans Clint Eastwood ni Terrance Hill, ce film montre qu'avec un scénario bien ficeler, une réalisation impeccable et des personnages de légendes l'homme à l'harmonica est tout bonnement mythique, un chef d'oeuvre culte peut naître. Mention spécial à tous les acteurs qui jouent justes. Le western le plus légendaire de l'histoire du cinéma,et accessoirement mon film préféré."Il était une fois dans l'Ouest"1968assume totalement le fait de rendre mythique les cows-boys et la fin de la Conquête de l' Leone a voulu montré qu'au début du XXème siècle,la création du chemin de fer et l'arrivée de capitalistes fortunés allait signer l'acte de mort des hommes à l'ancienne,ceux qui se battent en duel,et qui prennent le pouvoir par leur film est une élégie sur l'Ouest américain,autour de 4 personnages iconiques,chacun à un tournantsouvent fatalde son McBain reprend la ferme familiale après le carnage de sa nouvelle Cardinale y est courageuse,vulnérable, attend mystérieusement son heure pour se débarrasser d'un passé encombrantCharles Bronson,divinement impénétrable.Frank,tueur à gages vieillissant,tente de s'adapter aux nouvelles règles commercialesHenry Fonda,impitoyable et glaçant.Alors que Cheyenne incarne lui le cow-boy romantique,spirituel et mélancoliqueJason Robarts,hyper-attachant.Leone grave son western dans le marbre,en étirant les regards,les silences,les gestes à l'infini;comme dans cette ouverture magistrale sur le quai d'une a le souffle coupé,à l'affut du moindre musique d'Ennio Morricone est thèmes pour les 4 airs menaçants,romanesques et désenchantés qui pénètrent notre chef d'oeuvre des chefs d'oeuvre. Un western légendaire qui n'a rien perdu de sa violence, de sa fougue et de son pouvoir de fascination. Le western le plus virtuose, le plus beau jamais réalisé avec "Le Bon, la brute et le truand". Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse
Sortie 12 juil. 2022 De Sergio Leone avec Henry Fonda, Charles Bronson, Frank Wolff Avis aux cinéphiles ne manquez pas la séance Ciné Club consacrée au film culte IL ETAIT UNE FOIS DANS L'OUEST ! Rendez-vous mardi 12 juillet pour cette projection spéciale suivie d'un quiz animé par Philippe Rouyer, journaliste de cinéma. Venez tester, dans une ambiance détendue et conviviale, vos connaissances sur les plus grands films de l'histoire du cinéma et revoir en conditions optimales vos grands classiques ! Synopsis Alors qu'il prépare une fête pour sa femme, Bet McBain est tué avec ses trois enfants. Jill McBain hérite alors des terres de son mari, terres que convoite Morton, le commanditaire du crime celles-ci ont de la valeur maintenant que le chemin de fer doit y passer. Mais les soupçons se portent sur un aventurier, Cheyenne... Infos, vidéos & détails La séance Ciné club Il était une fois dans l'OuestIl était une fois dans l'Ouest Bande-annonce VO ressortie 2016Il était une fois dans l'Ouest Bande-annonce VOAvis aux cinéphiles ne manquez pas la séance Ciné Club consacrée au film culte IL ETAIT UNE FOIS DANS L'OUEST ! Rendez-vous mardi 12 juillet pour cette projection spéciale suivie d'un quiz animé par Philippe Rouyer, journaliste de cinéma. Venez tester, dans une ambiance détendue et conviviale, vos connaissances sur les plus grands films de l'histoire du cinéma et revoir en conditions optimales vos grands classiques ! Synopsis Alors qu'il prépare une fête pour sa femme, Bet McBain est tué avec ses trois enfants. Jill McBain hérite alors des terres de son mari, terres que convoite Morton, le commanditaire du crime celles-ci ont de la valeur maintenant que le chemin de fer doit y passer. Mais les soupçons se portent sur un aventurier, Cheyenne... Réalisé par Sergio Leone Avec Henry Fonda, Charles Bronson, Frank WolffNationalité ItalieAvis des utilisateurs111veulent le voir20avis au totalNoter le filmLa séance Ciné club Il était une fois dans l'OuestTrouvez des séances Quels sont les nouveaux films à l'affiche au cinéma ? Retrouver toutes es nouveauté de la semaine depuis la rubrique "Tous les films à l'affiche", un bandeau "Nouveau" s'affiche sur les affiches des sorties de la semaine. En savoir plus Comment savoir si un film est disponible IMAX, 4DX et Dolby dans mon cinéma Pathé ou Gaumont ? Pour connaitre la liste des films disponible dns votre cinéma pour chacune des technologie disponible, rendez vous sur la page dédiée à l'IMAX, 4DX et Dolby Cinema En savoir plus Pourquoi réserver en ligne ? En réservant gratuitement un billet sur notre site ou application mobile, vous avez la garantie - de réserver votre fauteuil préféré pour la séance de votre choix - d'accéder rapidement à votre séance en vous rendant directement au point de contrôle muni de votre e-billet et évitez ainsi les files d'attente. - de pouvoir annuler gratuitement jusqu'à 15 minutes avant le début de la séance En savoir plus81s9C.