Prix: 47,30 $ Format : Papier: Table des matiĂšres : PrĂ©sentation. La mĂ©thodologie est simple : un article du Code de procĂ©dure civile peut comporter un ou plusieurs alinĂ©as. Un alinĂ©a peut comprendre une ou plusieurs phrases constituĂ©es de parties logiques. Le Code de procĂ©dure civile en tableaux est le rĂ©sultat de la transformation en tableaux de l’alinĂ©a, de la phrase, de
L’appel L’appel est une voie de recours ordinaire et de rĂ©formation contre les jugements rendus en premiĂšre instance. Pour dĂ©ployer pleinement ses effets II, l’appel est soumis Ă  un certain nombre de conditions de recevabilitĂ© I. I. — Les conditions de recevabilitĂ© de l’appel Pour ĂȘtre recevable, l’appel doit aussi bien satisfaire des conditions de fond A, que des conditions de forme B. A. — Les conditions de fond L’appel n’est ouvert que contre 1. — Les dĂ©cisions rendues en matiĂšre contraventionnelle uniquement pour les contraventions de 5eclasse ; les peines d’amende dont le montant est supĂ©rieur Ă  150 euros ; ou lorsque le jugement du Tribunal de Police a statuĂ© sur l’action civile ; 2. — Les dĂ©cisions rendues en matiĂšre correctionnelle par le Tribunal correctionnel ; 3. — Les dĂ©cisions rendues en matiĂšre criminelle par la Cour d’assises. À cela s’ajoute que seul un nombre de personnes limitativement prĂ©vu par le Code de procĂ©dure pĂ©nale peuvent former un appel 1. — La personne objet des poursuites ; 2. — La partie civile seulement concernant la dĂ©cision ayant statuĂ© sur l’action civile ; 3. — Le ministĂšre public ; 4. — La personne civilement responsable et l’assureur du mis en cause ou de la partie civile uniquement s’agissant des dispositions affairant aux intĂ©rĂȘts civils ; 5. — Les administrations Ă  l’origine des actions par exemple, les douanes. B. — Les conditions de forme de l’appel D’abord, l’appel principal doit ĂȘtre interjetĂ© dans un certain dĂ©lai pour ĂȘtre recevable. À cet Ă©gard il convient de distinguer 1. — L’appel des parties, lequel doit ĂȘtre formĂ© dans un dĂ©lai de dix jours Ă  compter du prononcĂ© du jugement ou de sa notification aux intĂ©ressĂ©s ; 2. — L’appel du parquet, qui est de vingt jours Ă  compter du prononcĂ© du jugement. Lorsqu’une ou plusieurs parties font appel, le Code de procĂ©dure pĂ©nale fait bĂ©nĂ©ficier aux autres parties d’un dĂ©lai supplĂ©mentaire de cinq jours. On parle alors d’appel incident. 3. — Ensuite, l’acte d’appel doit ĂȘtre signĂ©, et fait auprĂšs du greffe de la juridiction ayant rendu la dĂ©cision attaquĂ©e. Si l’appelant est incarcĂ©rĂ©, la dĂ©claration d’appel est faite auprĂšs du chef de l’établissement pĂ©nitentiaire dans lequel il est Ă©crouĂ©. II. — Les effets de l’appel L’appel a pour effet de suspendre l’exĂ©cution de la dĂ©cision attaquĂ©e A, et de renvoyer l’affaire devant la Cour d’appel B. A. — L’effet suspensif de l’appel Aux termes de l’article 506 du Code de procĂ©dure pĂ©nal, il est sursis Ă  l’exĂ©cution du jugement pendant les dĂ©lais d’appel et durant l’instance d’appel. Il s’ensuit que l’exĂ©cution des dispositions pĂ©nales et civiles du jugement de premiĂšre instance ne peuvent ĂȘtre portĂ©es Ă  exĂ©cution pendant ce dĂ©lai. 1. — S’agissant des dispositions pĂ©nales du jugement de premiĂšre instance Il dĂ©coule de ce qui prĂ©cĂšde que l’exĂ©cution de la ou des peines prononcĂ©es Ă  la requĂȘte du ministĂšre public a lieu lorsque la dĂ©cision est devenue dĂ©finitive article 708 du Code de procĂ©dure pĂ©nale. Cependant, il existe nombre d’exceptions Ă  ce principe a. — Le dĂ©lai d’appel accordĂ© au reprĂ©sentant du ministĂšre public ne fait pas obstacle Ă  ce que la peine soit portĂ©e Ă  exĂ©cution article 708 du Code de procĂ©dure pĂ©nale. DĂšs lors, le jugement de premiĂšre instance devient exĂ©cutoire Ă  l’issue du dĂ©lai de dix jours laissĂ© aux parties pour interjeter appel. b. — Certaines dispositions du Code de procĂ©dure pĂ©nale prĂ©voient que des peines peuvent faire l’objet d’une exĂ©cution provisoire si un texte le prĂ©voit 1. — Tel est le cas des sanctions pĂ©nales prononcĂ©es en application des articles 131-5 et 131-11 et 132-25 à 132-70 du Code pénal par exemple, suspension du permis de conduire, qui peuvent ĂȘtre dĂ©clarĂ©es exĂ©cutoires par provision article 506 du Code de procĂ©dure pĂ©nale ; 2. — Il ressort de l’article 132-41 du Code de procĂ©dure pĂ©nale que la juridiction de premiĂšre instance peut assortir de l’exĂ©cution provisoire une condamnation Ă  une peine de sursis probatoire ; 3. — De mĂȘme, il n’y a pas d’obstacle Ă  ce qu’une procĂ©dure de comparution sur reconnaissance prĂ©alable de culpabilitĂ© CRPC soit immĂ©diatement exĂ©cutoire article 495-11 du Code de procĂ©dure pĂ©nale ; 4. — Dans le cadre d’une procĂ©dure de comparution immĂ©diate, l’article 397-4 du Code de procĂ©dure pĂ©nale prĂ©voit que la juridiction de premiĂšre instance a la facultĂ© de placer ou maintenir le prĂ©venu en dĂ©tention provisoire, sous contrĂŽle judiciaire, ou sous assignation Ă  rĂ©sidence avec surveillance Ă©lectronique par dĂ©cision spĂ©cialement motivĂ©e dans l’attente de l’audiencement de l’appel ; 5. — Enfin, le Tribunal a la facultĂ© de placer ou maintenir le prĂ©venu en dĂ©tention provisoire, sous contrĂŽle judiciaire, ou sous assignation Ă  rĂ©sidence avec surveillance Ă©lectronique si la peine prononcĂ©e en premiĂšre instance est Ă©gale ou supĂ©rieure Ă  une annĂ©e d’emprisonnement. Il lui appartiendra alors de dĂ©cerner un mandat de dĂ©pĂŽt par dĂ©cision spĂ©cialement motivĂ©e. 2. — S’agissant des dispositions civiles du jugement de premiĂšre instance L’effet suspensif de l’appel concerne Ă©galement les dispositions civiles du jugement de premiĂšre instance contre lequel appel s’avĂšre interjetĂ©. Cependant lĂ  encore, il existe des exceptions Ă  ce principe. En outre, le tribunal statuant en premiĂšre instance peut ordonner le versement provisoire de tout ou partie des dommages et intĂ©rĂȘts allouĂ©s Ă  la partie civile, ou encore demander une provision exĂ©cutoire article 464 du Code de procĂ©dure pĂ©nale ; B. — L’effet dĂ©volutif de l’appel L’appel a pour effet de saisir la juridiction de l’ordre judiciaire appartenant Ă  l’échelon supĂ©rieur la Cour d’appel. Il convient de noter que cette saisine n’opĂšre que dans les limites fixĂ©es par l’acte d’appel, ainsi que par la qualitĂ© de l’appelant articles 509 et 515 du Code de procĂ©dure pĂ©nale, ce qui emporte deux consĂ©quences a. — La premiĂšre la Cour d’appel ne saurait connaitre de faits qui n’auraient pas Ă©tĂ© abordĂ©s devant le Tribunal, de mĂȘme qu’elle ne peut statuer concernant des personnes qui n’étaient pas parties en premiĂšre instance ; b. — La seconde la Cour d’appel n’est amenĂ©e Ă  statuer que sur les dispositions ayant fait l’objet d’un recours. Il est donc exclu qu’elle se prononce sur des Ă©lĂ©ments qui n’auraient pas Ă©tĂ© contestĂ©s par l’une des parties Ă  l’instance. Ainsi, elle ne peut 1. — Statuer sur des faits nouveaux non Ă©voquĂ©s en premiĂšre instance ; 2. — RĂ©pondre Ă  de nouvelles demandes qui n’auraient pas Ă©tĂ© formulĂ©es au prĂ©alable ; 3. — Aggraver le sort du condamnĂ© ou de la partie civile sur son seul appel. En effet, l’article 515 du Code de procĂ©dure pĂ©nale dispose que la Cour ne peut, sur le seul appel du prĂ©venu, du civilement responsable, de la partie civile ou de l’assureur de l’une de ces personnes, aggraver le sort de l’appelant. Il faut donc qu’il y ait Ă©galement appel de la partie adverse pour que le sort de la partie appelante puisse ĂȘtre aggravé. Par exception, le mĂȘme texte prĂ©voit que la Cour peut, sur l’appel du ministĂšre public, soit confirmer le jugement, soit l’infirmer en tout ou en partie dans un sens favorable ou dĂ©favorable au prĂ©venu. DĂšs lors, la rĂšgle prĂ©citĂ©e peut ĂȘtre neutralisĂ©e par l’appel du ministĂšre public. III. — Contacter un avocat L’appel Pour votre dĂ©fense 453 code de procĂ©dure pĂ©nale appel code de procĂ©dure pĂ©nale appel d’offre avocat 464 du code de procĂ©dure pĂ©nale appel d’un jugement correctionnel appel d’un jugement correctionnel effet suspensif 506 du code de procĂ©dure pĂ©nale appel avocat dĂ©lai appel avocat obligatoire 509 code de procĂ©dure pĂ©nale appel code procĂ©dure pĂ©nale appel correctionnel 530-1 code de procĂ©dure pĂ©nale appel correctionnel dĂ©lai appel correctionnel suspensif 557 code de procĂ©dure pĂ©nale d’abord, L’appel appel avec avocat appel avocat barreau 708 du code de procĂ©dure pĂ©nale appel Ă  avocat appel Ă  jugement a interjetĂ© appel du jugement appel avocat pĂ©nal avocat spĂ©cialiste appel paris appel procĂ©dure pĂ©nale arrestation appel procĂ©dure pĂ©nale article 40 avocat postulant appel avocat spĂ©cialisĂ© appel puis, L’appel appel procĂ©dure pĂ©nale citation directe appel procĂ©dure pĂ©nale code avocat pour un appel avocat qui fait appel appel procĂ©dure pĂ©nale criminalitĂ© organisĂ©e appel procĂ©dure pĂ©nale d’arrĂȘt avocat pour appel avocat pour faire appel appel procĂ©dure pĂ©nale de la preuve appel procĂ©dure pĂ©nale dĂ©finition avocat oublie de faire appel avocat paris cour d’appel Versailles appel procĂ©dure pĂ©nale dĂ©lai d’appel appel procĂ©dure pĂ©nale dĂ©roulement avocat fait appel Ă  un expert avocat gĂ©nĂ©ral appel appel procĂ©dure pĂ©nale des dĂ©lais appel procĂ©dure pĂ©nale directe avocat d’appel avocat en appel obligatoire ensuite, L’appel appel procĂ©dure pĂ©nale droit pĂ©nal appel procĂ©dure pĂ©nale du contradictoire avocat droit pĂ©nal avocat en appel appel procĂ©dure pĂ©nale fonction publique appel procĂ©dure pĂ©nale française article 506 ccp avocat appel qui fait appel procĂ©dure pĂ©nale française accusatoire ou inquisitoire appel procĂ©dure pĂ©nale garde Ă  vue avocat cour d’appel avocat cour d’appel paris appel procĂ©dure pĂ©nale gendarmerie appel procĂ©dure pĂ©nale homme avocat appel urgence avocat appelĂ© maitre appel procĂ©dure pĂ©nale jonction appel procĂ©dure pĂ©nale judiciaire avocat appel paris aussi, L’appel avocat appel pension alimentaire appel procĂ©dure pĂ©nale juge d’instruction appel procĂ©dure pĂ©nale jugement avocat appel avocat appel international appel procĂ©dure pĂ©nale jurisprudence appel procĂ©dure pĂ©nale justice avocat appel judiciaire avocat appel juridique appel procĂ©dure pĂ©nale la preuve appel procĂ©dure pĂ©nale mineur article 708 code de procĂ©dure pĂ©nale avocat absent en appel appel procĂ©dure pĂ©nale mineur victime appel procĂ©dure pĂ©nale obligatoire article 708-1 du code de procĂ©dure pĂ©nale audience correctionnelle cour d’appel appel procĂ©dure pĂ©nale opj appel procĂ©dure pĂ©nale ou civile Ă©galement, L’appel article 524 code de procĂ©dure pĂ©nale article 576 du code de procĂ©dure pĂ©nale appel procĂ©dure pĂ©nale paris appel procĂ©dure pĂ©nale perquisition article 515 du ccp article 515-1 du code de procĂ©dure pĂ©nale appel procĂ©dure pĂ©nale poursuite appel procĂ©dure pĂ©nale pourvoi en cassation article 515 code de procĂ©dure pĂ©nale article 515 du code de procĂ©dure pĂ©nale appel procĂ©dure pĂ©nale prescription appel procĂ©dure pĂ©nale preuve article 515 alinĂ©a 2 du code de procĂ©dure pĂ©nale article 515 alinĂ©a 3 du code de procĂ©dure pĂ©nale appel procĂ©dure pĂ©nale qualification appel procĂ©dure pĂ©nale question article 464-2 du code de procĂ©dure pĂ©nale article 465-1 du code de procĂ©dure pĂ©nale appel procĂ©dure pĂ©nale questionnaire de mĂȘme, L’appel appel procĂ©dure pĂ©nale reforme article 509 du code de procĂ©dure pĂ©nale article 509-1 du code de procĂ©dure pĂ©nale appel procĂ©dure pĂ©nale salaire appel procĂ©dure pĂ©nale terrorisme article 506 du code de procĂ©dure pĂ©nale article 509 code de procĂ©dure pĂ©nale appel procĂ©dure pĂ©nale trafic de stupĂ©fiants appel procĂ©dure pĂ©nale travail dissimulĂ© article 464 du ccp aprĂšs, L’appel article 464-1 du code de procĂ©dure pĂ©nale appel procĂ©dure pĂ©nale tribunal correctionnel appel procĂ©dure pĂ©nale tribunal de police article 33 code de procĂ©dure pĂ©nale article 464 alinĂ©a 3 du code de procĂ©dure pĂ©nale appel procĂ©dure pĂ©nale vice appel procĂ©dure pĂ©nale victime article 464 code de procĂ©dure pĂ©nale article 464 du code de procĂ©dure pĂ©nale appel procĂ©dure pĂ©nale vie privĂ©e appel procĂ©dure pĂ©nale voies de recours appeler imparfait appel procĂ©dure pĂ©nale vol appel rĂ©fĂ©rĂ© avocat obligatoire appeler en privĂ© appel sans avocat appel sans avocat obligatoire appeler au prĂ©sent appel suspensif code de procĂ©dure pĂ©nale appel un jugement mais, L’appel arrĂȘt cour d’appel correctionnelle article 501 du code de procĂ©dure pĂ©nale avocat cour d’appel Versailles avocat et appel calcul dĂ©lai appel correctionnel calcul dĂ©lai appel jugement correctionnel avocat obligatoire appel correctionnel= avocat spĂ©cialiste procĂ©dure d’appel Versailles caducitĂ© appel jugement non signifiĂ© calcul dĂ©lai d’appel pĂ©nal calcul du dĂ©lai d’appel en matiĂšre pĂ©nale caractĂšre suspensif de l’appel certificat de non appel procĂ©dure pĂ©nale chambre correctionnelle de la cour d’appel code de procĂ©dure pĂ©nale code de procĂ©dure pĂ©nale appel cour d’appel avocat non obligatoire cour d’appel chambre correctionnelle avocat cour d’appel cour d’appel avocat gĂ©nĂ©ral cour d’appel correctionnelle code pĂ©nal code pĂ©nal français car, L’appel cour d’appel correctionnelle paris cour d’appel correctionnelle procĂ©dure code procĂ©dure pĂ©nale comment avocat appel d’offre composition cour d’appel correctionnelle computation dĂ©lai d’appel jugement correctionnel computation du dĂ©lai d’appel en matiĂšre pĂ©nale conditions de recevabilitĂ© de l’appel consĂ©quences de l’appel du 18 juin 1940 consĂ©quences de l’appel d’un jugement constitution avocat appel intimĂ© constitution avocat en appel convocation cour d’appel correctionnelle cour d’appel arrĂȘt cour d’appel correctionnelle avocat obligatoire dĂ©lai appel correctionnel covis dĂ©lai appel correctionnel covis 19 cour d’appel de paris chambre correctionnelle cour d’appel de paris greffe correctionnel dĂ©lai appel jugement correctionnel partie civile dĂ©lai appel jugement correctionnel sur intĂ©rĂȘts civils cour d’appel de Versailles greffe correctionnel cour d’appel en matiĂšre pĂ©nale dĂ©lai appel correctionnel dĂ©lai appel correctionnel parquet cour d’appel greffe correctionnel cour d’appel judiciaire dĂ©lai appel en correctionnel dĂ©lai appel jugement tribunal correctionnel cour d’appel jugement cour d’appel justice dĂ©lai d’appel jugement pĂ©nal dĂ©lai d’appel jugement pĂ©nal sur intĂ©rĂȘts civils cour d’appel paris chambre correctionnelle cour d’appel pĂ©nal certes, L’appel dĂ©lai d’appel tribunal correctionnel dĂ©lai pour constituer avocat appel cour d’appel tribunal correctionnelle cour d’assise cour d’appel dĂ©lai d’appel code procĂ©dure pĂ©nale dĂ©lai d’appel correctionnel cout avocat pour appel dĂ©claration d’appel avocat obligatoire dĂ©claration d’appel en matiĂšre pĂ©nale dĂ©lai d’appel pĂ©nal point de dĂ©part dĂ©lai d’appel procĂ©dure pĂ©nale dĂ©claration d’appel procĂ©dure pĂ©nale dĂ©lai appel avocat garde Ă  vue dĂ©lai appel correctionnel partie civile effets de l’appel effets de l’appel civil dĂ©lai appel jugement tribunal correctionnel sur intĂ©rĂȘts civils effet de l’appel en droit administratif effet suspensif de l’appel en matiĂšre civile dĂ©lai appel procĂ©dure pĂ©nale dĂ©lai audiencement appel correctionnel effet suspensif de l’appel en matiĂšre correctionnelle effet suspensif de l’appel en matiĂšre pĂ©nale dĂ©lai d’appel au pĂ©nal dĂ©lai d’appel correctionnel covis effet suspensif de l’appel droit administratif effet suspensif de l’appel en matiĂšre administrative dĂ©lai d’appel correctionnel partie civile dĂ©lai d’appel dĂ©cision pĂ©nale alors, L’appel effet suspensif de l’appel et exĂ©cution provisoire effet suspensif de l’appel exĂ©cution provisoire dĂ©lai d’appel droit pĂ©nal dĂ©lai d’appel d’une condamnation pĂ©nale effet de l’appel en matiĂšre correctionnelle effet suspensif de l’appel dĂ©finition dĂ©lai d’appel en matiĂšre pĂ©nale dĂ©lai d’appel en pĂ©nal effet suspensif de l’appel article effet suspensif de l’appel code de procĂ©dure civile dĂ©lai d’appel incident pĂ©nal dĂ©lai d’appel jugement correctionnel sur intĂ©rĂȘts civils effet suspensif de l’appel au pĂ©nal effet suspensif de l’appel civil dĂ©lai d’appel jugement tribunal correctionnel dĂ©lai d’appel matiĂšre pĂ©nale effet suspensif appel pĂ©nal effet suspensif de l’appel dĂ©lai d’appel ordonnance pĂ©nale dĂ©lai d’appel pĂ©nal effet dĂ©volutif de l’appel et Ă©vocation effet dĂ©volutif de l’appel pĂ©nal dĂ©lai d’appel pĂ©nal 10 jours ouvrĂ©s pourtant, L’appel dĂ©lai d’appel pĂ©nal covis effet non suspensif de l’appel administratif effet suspensif appel jugement correctionnel dĂ©lai d’appel pĂ©nal covis 19 dĂ©lai d’appel pĂ©nal jours ouvrĂ©s effet dĂ©volutif appel pĂ©nal effet dĂ©volutif de l’appel en matiĂšre pĂ©nale dĂ©lais appel correctionnel dĂ©lais appel jugement correctionnel effet de l’appel en matiĂšre pĂ©nale effet de l’appel sur un jugement dĂ©lais appel tribunal correctionnel dĂ©lais d’appel correctionnel dĂ©sistement d’appel en matiĂšre pĂ©nale dĂ©sistement d’appel procĂ©dure pĂ©nale droit pĂ©nal effet de l’appel effet de l’appel au pĂ©nal droit pĂ©nal des affaires droit pĂ©nal spĂ©cial effet suspensif de l’appel pĂ©nal ci-aprĂšs, L’appel effet suspensif de l’appel rĂ©forme la procĂ©dure la procĂ©dure d’appel en matiĂšre civile effet suspensif et dĂ©volutif de l’appel effets de l’appel en garantie l’appel en matiĂšre criminelle l’appel en matiĂšre pĂ©nale effets de l’appel en matiĂšre civile exception Ă  l’effet suspensif de l’appel faire appel jugement huissier frais avocat appel frais avocat en appel gagner en appel jugement honoraires avocat appel honoraires avocat en appel les effets de l’appel en matiĂšre pĂ©nale les effets de l’appel en procĂ©dure civile honoraires avocat pour appel irrecevabilitĂ© appel partie civile irrecevabilitĂ© appel provoquĂ© jugement en cour d’appel jugement faire appel suivant, L’appel l’article 464 du ccp la chambre correctionnelle de la cour d’appel la procĂ©dure d’appel en matiĂšre pĂ©nale l’effet dĂ©volutif de l’appel dĂ©finition l’effet suspensif de l’appel la recevabilitĂ© de l’appel l’appel du jugement statuant exclusivement sur la compĂ©tence l’appel d’un jugement est-il suspensif les effets de l’appel en droit les effets de l’appel en procĂ©dure pĂ©nale l’appel en droit pĂ©nal l’appel en justice recevabilitĂ© appel contentieux administratif recevabilitĂ© appel cour administrative l’appel en procĂ©dure pĂ©nale l’article 464 du code de procĂ©dure pĂ©nale procĂ©dure appel correctionnel procĂ©dure contradictoire enfin, L’appel le code pĂ©nal le droit pĂ©nal procĂ©dure d’appel civil procĂ©dure d’appel en justice l’effet de l’appel appel anonyme procĂ©dure pĂ©nale appel avocat tĂ©lĂ©chargement illĂ©gal verbe appeler appel d’un jugement avant dire droit appel d’un jugement mixte un appel appel en jugement appel en matiĂšre correctionnelle tribunal correctionnel cour d’appel appel en matiĂšre pĂ©nale appel en matiĂšre pĂ©nale suspensif un avocat appel appel en procĂ©dure pĂ©nale appel et jugement davantage encore, L’appel suppression de l’effet suspensif de l’appel appel immĂ©diat jugement mixte appel incident tarif avocat appel appel incident code de procĂ©dure pĂ©nale appel incident procĂ©dure pĂ©nale son avocat fait appel appel jugement assises appel jugement au fond signification Ă  avocat appel appel jugement avant dire droit pourtant, L’appel appel jugement civil saisie arrĂȘt appel jugement clĂŽture liquidation judiciaire appel jugement comparution immĂ©diate tarif avocat en appel appel jugement compĂ©tence appel jugement contravention 4Ăšme classe recevabilitĂ© de l’appel et exĂ©cution du jugement appel jugement correctionnel appel jugement correctionnel partie civile rĂ©cusation appel jugement correctionnel sur intĂ©rĂȘts civils appel jugement cour d’assises recevabilitĂ© de l’appel d’un jugement avant dire droit appel jugement de liquidation judiciaire recours en appel jugement appel jugement de police appel jugement dĂ©lai recevabilitĂ© de l’appel en particulier, L’appel appel jugement en rectification d’erreur matĂ©rielle appel jugement Ă©tranger rĂšgles de pratique de la cour d’appel en matiĂšre pĂ©nale appel jugement exĂ©cution provisoire appel jugement expertise qu’est-ce que l’effet suspensif de l’appel appel jugement homologation appel jugement incompĂ©tence qui a fait l’appel appel jugement interdiction de gĂ©rer appel jugement intĂ©rĂȘts civils les effets de l’appel appel jugement jĂ  dĂ©lai appel jugement liquidation judiciaire dĂ©lai recevabilitĂ© appel hors dĂ©lai appel jugement mise en Ă©tat appel jugement mixte qui fait appel Ă  l’homme appel jugement mixte expertise appel jugement Nanterre quels sont les effets de l’appel appel jugement non avenu appel jugement non signifiĂ© quel avocat pour faire appel appel jugement notification appel jugement ordonnant expertise procureur qui fait appel Ă©videment, L’appel appel jugement par dĂ©faut appel jugement pĂ©nal quelle appel procĂ©dure pĂ©nale appel jugement rectificatif appel jugement rectification erreur matĂ©rielle procĂ©dure pĂ©nale appel procĂ©dure pĂ©nale appel suspensif appel jugement redressement judiciaire appel jugement rendu en dernier ressort procĂ©dure pĂ©nale cour d’appel appel jugement rendu par dĂ©faut appel jugement rĂ©putĂ© contradictoire rĂšglement de la cour d’appel en matiĂšre pĂ©nal appel jugement sur intĂ©rĂȘts civils appel jugement sur la compĂ©tence signification jugement appel huissier appel jugement sursis Ă  statuer appel jugement suspensif signification arrĂȘt cour d’appel chambre correctionnelle appel jugement ti Nanterre appel jugement tribunal correctionnel recevabilitĂ© de l’appel et exĂ©cution provisoire appel jugement tribunal de police appel jugement tribunal de proximitĂ© qui a fait appel du jugement appel jugement tribunal instance appel nullitĂ© jugement procĂ©dure d’appel en matiĂšre civile appel pĂ©nal appel pĂ©nal dĂ©lai procĂ©dure 905 cour d’appel appel pĂ©nal effet suspensif appel pĂ©nal suspensif procĂ©dure d’appel en matiĂšre pĂ©nale appel privĂ© appel procĂ©dure pĂ©nale obligation avocat appel et puis, L’appel appel procĂ©dure pĂ©nale 15-3 appel procĂ©dure pĂ©nale 175 recevabilitĂ© appel nullitĂ© appel procĂ©dure pĂ©nale 1958 appel procĂ©dure pĂ©nale 2020 procĂ©dure pĂ©nale procĂšs en appel avocat gĂ©nĂ©rale appel procĂ©dure pĂ©nale 362 personne qui fait appel appel procĂ©dure pĂ©nale 365-1 appel procĂ©dure pĂ©nale 393 obligation avocat en appel appel procĂ©dure pĂ©nale 40 appel procĂ©dure pĂ©nale 41-1 recevabilitĂ© d’un appel appel procĂ©dure pĂ©nale 41-2 appel procĂ©dure pĂ©nale 429 mesure conservatoire appel procĂ©dure pĂ©nale 475-1 appel procĂ©dure pĂ©nale 529-1 les effets suspensifs de l’appel appel procĂ©dure pĂ©nale 568 appel procĂ©dure pĂ©nale 63-1 l’effet dĂ©volutif de l’appel appel procĂ©dure pĂ©nale 63-4-1 appel procĂ©dure pĂ©nale 706-3 recevabilitĂ© de l’appel provoquĂ© appel procĂ©dure pĂ©nale 706-47 appel procĂ©dure pĂ©nale 706-71 et aussi, L’appel recevabilitĂ© de l’appel incident appel procĂ©dure pĂ©nale 706-73 appel procĂ©dure pĂ©nale 77 les effets de l’appel d’un jugement appel procĂ©dure pĂ©nale 77-1 appel procĂ©dure pĂ©nale 77-2 l’effet suspensif de l’appel en procĂ©dure civile appel procĂ©dure pĂ©nale 78-2 appel procĂ©dure pĂ©nale 89 recevabilitĂ© appel en garantie appel procĂ©dure pĂ©nale 9 code appel procĂ©dure pĂ©nale 9-1 l’effet suspensif de l’appel aujourd’hui appel procĂ©dure pĂ©nale 9-2 appel procĂ©dure pĂ©nale 9-3 l’effet suspensif de l’appel aujourd’hui appel procĂ©dure pĂ©nale 94 appel procĂ©dure pĂ©nale action civile l’effet dĂ©volutif appel procĂ©dure pĂ©nale action publique appel procĂ©dure pĂ©nale approfondie recevabilitĂ© appel Ă  cause de cela, en dernier lieu, L’appel Ă  cause de, ainsi, Ă  nouveau, Ă  partir de lĂ , Ainsi, Alors que, Alors, AprĂšs cela, AprĂšs que, Aussi, bien que, car, Cependant, c’est ainsi que, c’est pour cela que, par ailleurs, c’est pourquoi, ConsidĂ©rons, Contraste, D’autant plus, d’aprĂšs, de ce fait, de façon, maniĂšre que, De la mĂȘme maniĂšre, De mĂȘme, L’appel enfin, de nouveau de plus, en dernier lieu, De plus, de sorte que, deuxiĂšmement, Donc, en ce qui concerne, En conclusion, par ailleurs, En consĂ©quence, En dernier lieu, dommage encore, En fait, puis, En outre, finalement, en particulier, En premier lieu, finalement, En revanche, En somme, encore une fois, Enfin, L’appel ensuite, Ă©tant donnĂ© que, Finalement, grĂące Ă , il est question de, de mĂȘme, Il s’agit de, il y a aussi, Mais, MalgrĂ© cela, MalgrĂ© tout, NĂ©anmoins, Outre cela, Par ailleurs , Par consĂ©quent, et aussi, Par contre, par exemple, Ă©videmment, Par la suite, par rapport Ă , parce que, plus prĂ©cisĂ©ment, plus tard, Pour commencer, Pour conclure, Pourtant, PremiĂšrement, L’appel Prenons le cas de, Puis, puisque, Qui plus est, Selon, Suivant, Tandis que, touchant Ă , Tout d’abord, Toutefois, troisiĂšmement et ensuite, Une fois de plus, et puis, et aussi, Ă  cause de cela, Ă  cause de, ainsi, Ă  nouveau, Ă  partir de lĂ , Ainsi, Alors que, Alors, AprĂšs cela, AprĂšs que, Aussi, bien que, car, L’appel Cependant, c’est ainsi que, c’est pour cela que, par ailleurs, c’est pourquoi, ConsidĂ©rons, Contraste, D’autant plus, d’aprĂšs, de ce fait, de façon, maniĂšre que, De la mĂȘme maniĂšre, De mĂȘme, enfin, de nouveau de plus, en dernier lieu, De plus, de sorte que, deuxiĂšmement, Donc, en ce qui concerne, En conclusion, par ailleurs, En consĂ©quence, En dernier lieu, dommage encore, L’appel En fait, puis, En outre, finalement, en particulier, En premier lieu, finalement, En revanche, En somme, encore une fois, Enfin, ensuite, Ă©tant donnĂ© que, Finalement, grĂące Ă , il est question de, de mĂȘme, Il s’agit de, il y a aussi, L’appel Mais, MalgrĂ© cela, MalgrĂ© tout, NĂ©anmoins, Outre cela, Par ailleurs , Par consĂ©quent, et aussi, Par contre, par exemple, Ă©videmment, Par la suite, par rapport Ă , parce que, plus prĂ©cisĂ©ment, plus tard, Pour commencer, Pour conclure, Pourtant, PremiĂšrement, Prenons le cas de, Puis, puisque, Qui plus est, Selon, Suivant, Tandis que, L’appel touchant Ă , Tout d’abord, Toutefois, troisiĂšmement et ensuite, Une fois de plus, et puis, et aussi, Ă  cause de cela, Ă  cause de, ainsi, Ă  nouveau, Ă  partir de lĂ , Ainsi, Alors que, Alors, AprĂšs cela, AprĂšs que, Aussi, bien que, car, Cependant, c’est ainsi que, c’est pour cela que, par ailleurs, c’est pourquoi, ConsidĂ©rons, L’appel Contraste, D’autant plus, d’aprĂšs, de ce fait, de façon, maniĂšre que, De la mĂȘme maniĂšre, De mĂȘme, enfin, de nouveau de plus, en dernier lieu, De plus, de sorte que, deuxiĂšmement, Donc, en ce qui concerne, En conclusion, par ailleurs, En consĂ©quence, En dernier lieu, dommage encore, En fait, L’appel puis, En outre, finalement, en particulier, En premier lieu, finalement, En revanche, En somme, encore une fois, Enfin, ensuite, Ă©tant donnĂ© que, Finalement, grĂące Ă , il est question de, de mĂȘme, Il s’agit de, il y a aussi, Mais, MalgrĂ© cela, MalgrĂ© tout, NĂ©anmoins, Outre cela, L’appel Par ailleurs , Par consĂ©quent, et aussi, Par contre, par exemple, Ă©videmment, Par la suite, par rapport Ă , parce que, plus prĂ©cisĂ©ment, plus tard, Pour commencer, Pour conclure, Pourtant, PremiĂšrement, Prenons le cas de, Puis, puisque, Qui plus est, Selon, Suivant, Tandis que, touchant Ă , Tout d’abord, Toutefois, troisiĂšmement et ensuite, Une fois de plus, L’appel et puis, et aussi, procĂ©dure pĂ©nale du cabinet Aci assurera efficacement votre dĂ©fense. Il vous appartient de prendre l’initiative en l’appelant au tĂ©lĂ©phone ou bien en envoyant un mail. Quelle que soit votre situation auteur, co-auteur, complice, receleur ou victime d’infractions, nos avocats vous accompagnent et assurent votre dĂ©fense durant la phase d’enquĂȘte garde Ă  vue ; d’instruction juge d’instruction, chambre de l’instruction ; devant la chambre de jugement et enfin, pendant la phase judiciaire aprĂšs le procĂšs, auprĂšs de l’administration pĂ©nitentiaire par exemple. IV. — Les domaines d’intervention du cabinet Aci L’appel Cabinet d’avocats pĂ©nalistes parisiens D’abord, Adresse 55, rue de Turbigo 75003 PARIS Puis, TĂ©l Ensuite, Fax Engagement, E-mail contact Enfin, CatĂ©gories PremiĂšrement, LE CABINET En premier lieu, RĂŽle de l’avocat pĂ©naliste L’appel En somme, Droit pĂ©nal L’appel Tout d’abord, pĂ©nal gĂ©nĂ©ral L’appel AprĂšs cela, Droit pĂ©nal spĂ©cial les infractions du code pĂ©nal Puis, pĂ©nal des affaires L’appel Aussi, Droit pĂ©nal fiscal L’appel MalgrĂ© tout, Droit pĂ©nal de l’urbanisme L’appel De mĂȘme, Le droit pĂ©nal douanier En outre, Droit pĂ©nal de la presse Et ensuite, pĂ©nal des nuisances Donc, pĂ©nal routier infractions Outre cela, Droit pĂ©nal du travail MalgrĂ© tout, Droit pĂ©nal de l’environnement Cependant, pĂ©nal de la famille En outre, Droit pĂ©nal des mineurs Ainsi, Droit pĂ©nal de l’informatique En fait, pĂ©nal international Tandis que, Droit pĂ©nal des sociĂ©tĂ©s NĂ©anmoins, Le droit pĂ©nal de la consommation Toutefois, Lexique de droit pĂ©nal Alors, Principales infractions en droit pĂ©nal Puis, ProcĂ©dure pĂ©nale Pourtant, Notions de criminologie En revanche, DÉFENSE PÉNALE Aussi, AUTRES DOMAINES Enfin, CONTACT.
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PrĂ©vueĂ  l’article 779 du code de procĂ©dure civile, cette possibilitĂ© avait Ă©tĂ© supprimĂ©e par le dĂ©cret n° 2019-1333 du 11 dĂ©cembre 2019 rĂ©formant la procĂ©dure civile. Elle est donc dĂ©sormais rĂ©intĂ©grĂ©e. Art 3 : > Sur la conciliation : Ajout d’un alinĂ©a Ă  l’article 820 CPC pour indiquer expressĂ©ment que la demande en justice peut ĂȘtre formĂ©e aux fins de tentative Article 45 En matiĂšre de succession, sont portĂ©es devant la juridiction dans le ressort de laquelle est ouverte la succession jusqu'au partage inclusivement - les demandes entre hĂ©ritiers ; - les demandes formĂ©es par les crĂ©anciers du dĂ©funt ; - les demandes relatives Ă  l'exĂ©cution des dispositions Ă  cause de mort. Article prĂ©cĂ©dent Article 44 Article suivant Article 46 DerniĂšre mise Ă  jour 4/02/2012

1Sauf dans le cas oĂč la loi en dispose autrement et sans prĂ©judice des droits de la dĂ©fense, la procĂ©dure au cours de l'enquĂȘte et de l'instruction est secrĂšte ».. 2L'article 11 du code de procĂ©dure pĂ©nale , créé lors de la rĂ©forme du code d'instruction criminelle et inchangĂ© depuis , fait du caractĂšre secret de la procĂ©dure pĂ©nale française un principe essentiel et enfin

CODE CIVIL algĂ©rien. CODE CIVIL algĂ©rien. ivre I DISPOSITIONS GÉNÉRALES Titre I Des effets et de l'application des lois Titre II Des personnes physiques et morales Livre II DES OBLIGATIONS ET DES CONTRATS Titre I Des sources de l'obligation Titre II Des effets de l'obligation Titre III Des modalitĂ©s de l'obligation Titre IV De la transmission de l'obligation Titre V De l extinction de l'obligation Titre VI De la preuve de l'obligation Titre VII Du contrats portant sur la propriĂ©tĂ© Titre VIII Des contrats relatifs Ă  la jouissances des choses Titre IX Des contrats portants sur la prestation de services Titre X Des contrats alĂ©atoires Titre XI Du cautionnement Livre III DES DROITS RÉELS PRINCIPAUX Titre I Du droit de propriĂ©tĂ© Titre II Des dĂ©membrements du droit de propriĂ©tĂ© Livre IV DES DROITS RÉELS ACCESSOIRES OU DES SURETES RÉELLES Titre I De l'hypothĂšque Titre II Du droit d'affectation Titre III Du nantissement Titre IV Des privilĂšges DĂ©cret lĂ©gislatif n° 93-03 du 1er Mars 1993 relatif Ă  la promotion immobiliĂšre Texte relatif au contrat de bail Sommaire Ordonnance n° 75-58 du 26 septembre 1975 portant code civil, modifiĂ©e et complĂ©tĂ©e. AU NOM DU PEUPLE, Le Chef du Gouvernement, PrĂ©sident du Conseil des ministres, Sur le rapport du ministre de la jus, garde des sceaux, Vu les ordonnances n os 65-182 du 10 juillet 1965 et 70-53 du 18 djoumada I 1390 correspondant au 21 juillet 1970 portant constitution du Gouvernement; Le conseil des ministres entendu, Ordonne LIVRE I DISPOSITIONS GÉNÉRALES TITRE I DES EFFETS ET DE L’APPLICATION DES LOIS Art. 1. – La loi rĂ©git toutes les matiĂšres auxquelles se rapporte la lettre ou l’esprit de l’une de ses dispositions. En l’absence d’une disposition lĂ©gale, le juge se prononce selon les principes du droit musulman et, Ă  dĂ©faut, selon la coutume. Le cas Ă©chĂ©ant, il a recours au droit naturel et aux rĂšgles de l’équitĂ©. Art. 2. – La loi ne dispose que pour l’avenir; elle n’a point d’effet rĂ©troactif. La loi ne peut ĂȘtre abrogĂ©e que par une loi postĂ©rieure Ă©dictant expressĂ©ment son abrogation. Toutefois, l’abrogation peut aussi ĂȘtre implicite lorsque la nouvelle loi contient une disposition incompatible avec celle de la loi antĂ©rieure ou rĂ©glemente une matiĂšre prĂ©cĂ©demment rĂ©gie par cette derniĂšre. Art. 3. – Sauf disposition spĂ©ciale, les dĂ©lais sont calculĂ©s d’aprĂšs le calendrier grĂ©gorien. Art. 4. – Les lois promulguĂ©es sont exĂ©cutoires sur le territoire de la RĂ©publique algĂ©rienne dĂ©mocratique et populaire. Elles sont obligatoires Ă  Alger, un jour franc aprĂšs leur publication et partout ailleurs dans l’étendue de chaque daĂŻra, un jour franc aprĂšs que le Journal officiel de la RĂ©publique algĂ©rienne dĂ©mocratique et populaire qui les contient, soit parvenu au chef lieu de cette daĂŻra. La date du cachet de la daĂŻra apposĂ©e sur le Journal officiel de la RĂ©publique algĂ©rienne dĂ©mocratique et populaire en fait foi. Art. 5. – Les lois de police et de sĂ»retĂ© obligent tous ceux qui habitent le territoire. Chapitre I Des conflits de lois dans le temps Art. 6. – Les lois relatives Ă  la capacitĂ© s’appliquent Ă  toutes les personnes qui remplissent les conditions prĂ©vues. Lorsqu’une personne ayant une capacitĂ© juridique aux termes de l’ancienne loi, devient incapable d’aprĂšs la loi nouvelle, cette incapacitĂ© n’affecte pas les actes antĂ©rieurement accomplis par elle. Art. 7. – Les nouvelles dispositions touchant la procĂ©dure s’appliquent immĂ©diatement. Toutefois, en matiĂšre de prescription, les rĂšgles concernant les points de dĂ©part, la suspension et l’interruption, sont celles dĂ©terminĂ©es par l’ancienne loi pour toute la pĂ©riode antĂ©rieure Ă  l’entrĂ©e en vigueur des nouvelles dispositions. Il en est de mĂȘme en ce qui concerne les dĂ©lais de procĂ©dure. – Les preuves prĂ© constituĂ©es sont soumises Ă  la loi en vigueur, au ou la preuve est Ă©tablie ou au moment oĂč elle aurait dĂ» ĂȘtre Ă©tablie. Chapitre II Des conflits de lois dans l’espace Art. 9. – En cas de conflit de loi, la loi algĂ©rienne est compĂ©tente pour qualifier la catĂ©gorie Ă  laquelle appartient le rapport de droit, objet de litige, en vue de dĂ©terminer la loi applicable. Art. 10. – Les lois concernant l’état et la capacitĂ© des personnes, rĂ©gissent les AlgĂ©riens mĂȘme rĂ©sidant en pays Ă©tranger. Toutefois, si l’une des parties, dans une transaction d’ordre pĂ©cuniaire conclue en AlgĂ©rie et devant y produire ses effets, se trouve ĂȘtre un Ă©tranger incapable et que cette incapacitĂ© soit le fait d’une cause obscure qui ne peut ĂȘtre facilement dĂ©celĂ©e, cette cause n’a pas d’effet sur sa capacitĂ© et sa validitĂ© de la transaction. Les personnes morales Ă©trangĂšres, sociĂ©tĂ©s, associations, fondations ou autres qui exercent une activitĂ© en AlgĂ©rie, sont soumises Ă  la loi algĂ©rienne. Art. 11. – Les conditions relatives Ă  la validitĂ© du mariage sont rĂ©gies par la loi nationale de chacun des deux conjoints. Art. 12. – Les effets du mariage, y compris ceux qui concernent le patrimoine, sont soumis Ă  la loi nationale du mari, au moment de la conclusion du mariage. La dissolution est soumise Ă  la loi nationale de l’époux, au moment de l’acte introductif d’instance. Art. 13. – Dans les cas prĂ©vus par les articles 12 et 13, si l’un des deux conjoints est AlgĂ©rien, au moment de la conclusion du mariage, la loi algĂ©rienne est seule applicable, sauf en ce qui concerne la capacitĂ© de se marier. Art. 14. – L’obligation alimentaire entre parents est rĂ©gie par la loi nationale du dĂ©biteur. Art. 15. – Les rĂšgles de fonds en matiĂšre d’administration lĂ©gale, de curatelle et autres institutions de projections incapables et des absents, sont dĂ©terminĂ©es par la loi nationale de la personne Ă  protĂ©ger. Art. 16. – Les successions, testaments et autres dispositions Ă  cause de mort, sont rĂ©gis par la loi nationale du de cujus, du testateur ou du disposant au moment du dĂ©cĂšs. Toutefois, la forme du testament est rĂ©gie par la loi nationale du testateur, au moment du testament ou par la loi du lieu oĂč le testament a Ă©tĂ© Ă©tabli. Il en est de mĂȘme de la forme des autres dispositions Ă  cause de mort. Art. 17. – La possession, la propriĂ©tĂ© et autres droits rĂ©els sont soumis, pour ce qui est des immeubles, Ă  la loi de la situation de l’immeuble et pour ce qui est des meubles, Ă  la loi du lieu oĂč se trouvait le meuble, au moment oĂč s’est produit la cause qui a fait acquĂ©rir ou perdre la possession, la propriĂ©tĂ© ou les autres droits rĂ©els. Art. 18. – Les obligations contractuelles sont rĂ©gies par la loi du lieu oĂč le contrat Ă  Ă©tĂ© conclu, Ă  moins que les parties ne conviennent qu’une autre loi sera appliquĂ©e. Toutefois, les contrats relatifs Ă  des immeubles sont soumis Ă  la loi de la situation de l’immeuble. Art. 19. – Les actes entre vifs sont soumis, quant Ă  leur forme, Ă  la loi du lieu oĂč ils ont Ă©tĂ© accomplis. Ils peuvent ĂȘtre Ă©galement soumis Ă  la loi nationale commune aux parties. Art. 20. – Les obligations non contractuelles sont soumises Ă  la loi de l’Etat sur le territoire duquel se produit le fait gĂ©nĂ©rateur de l’obligation. Toutefois, lorsqu’il s’agit d’une obligation nĂ©e d’un fait dommageable, la disposition de l’alinĂ©a prĂ©cĂ©dent n’est pas appliquĂ©e aux frais qui se sont produits Ă  l’étranger et qui, quoique illicites d’aprĂšs la loi Ă©trangĂšre, sont considĂ©rĂ©s comme licites par la loi algĂ©rienne. Art. 21. – Les dispositions qui prĂ©cĂšdent ne s’appliquent que lorsqu’il n’en est pas autrement disposĂ© par une loi spĂ©ciale ou par une convention internationale en vigueur en AlgĂ©rie. Art. 22. – En cas de pluralitĂ© de nationalitĂ©s, le juge applique la nationalitĂ© effective. Toutefois, la loi algĂ©rienne est appliquĂ©e si la personne prĂ©sente, en mĂȘme temps, la nationalitĂ© algĂ©rienne, au regard de l’AlgĂ©rie et, une autre nationalitĂ©, au regard d’un ou de plusieurs Etats Ă©trangers. En cas d’apatridie, la loi Ă  appliquer est dĂ©terminĂ©e par le juge. Art. 23. – Lorsque les dispositions qui prĂ©cĂšdent renvoient au droit d’un Etat dans lequel existent plusieurs systĂšmes juridiques, le systĂšme Ă  appliquer est dĂ©terminĂ© par le droit interne de cet Etat. Art. 24. – L’application de la loi Ă©trangĂšre, en vertu des articles prĂ©cĂ©dents, est exclue si elle est contraire Ă  l’ordre public ou aux bonnes mƓurs en AlgĂ©rie. TITRE II DES PERSONNES PHYSIQUES ET MORALES Chapitre I Des personnes physiques Art. 25. – La personnalitĂ© commence avec la naissance accomplie de l’enfant vivant et fini par la mort. L’enfant conçu jouit des droits civils Ă  la condition qu’il naisse vivant. Art. 26. – La naissance et le dĂ©cĂšs sont Ă©tablis par les registres Ă  ce destinĂ©s. A dĂ©faut de cette preuve ou si l’inexactitude des indications contenues dans les registres est Ă©tablie, la preuve peut ĂȘtre fournie par tous autres moyens dans les formes prĂ©vues par la loi sur l’état civil. Art. 27. – La tenue des registres de naissances et dĂ©cĂšs et les dĂ©clarations y relatives, est rĂ©glementĂ©e par la loi sur l’état civil. Art. 28. – Toute personne doit avoir un nom et un ou plusieurs prĂ©noms. Le nom d’un homme s’étend Ă  ses enfants. Les prĂ©noms doivent ĂȘtre de consonance algĂ©rienne; il peut en ĂȘtre autrement pour les enfants de parents appartenant Ă  une confession non musulmane. Art. 29. – L’acquisition et le changement de nom sont rĂ©gis par la loi Ă  l’état civil. Art. 30. – La nationalitĂ© algĂ©rienne est rĂ©glementĂ©e par le code de la nationalitĂ© Art. 31. – La disparition et l’absence sont soumises aux prescriptions du droit de la famille. Art. 32. – La famille est constituĂ©e des parents de la personne. Sont parentes entre elles les personnes ayant un auteur commun. Art. 33. – La parentĂ© en ligne directe est celle qui existe entre ascendants et descendants. La parentĂ© en ligne collatĂ©rale est celle qui existe entre personnes ayant un auteur commun, sans que l’un descende de l’autre. Art. 34. – En ligne directe, le degrĂ© de parentĂ© est calculĂ© en remontant vers l’auteur commun et en contant chaque parent, Ă  l’exclusion de l’auteur. En ligne collatĂ©rale, on remonte du descendant Ă  l’ascendant commun, puis en descend jusqu’à l’autre descendant. Tout parent, Ă  l’exclusion de l’auteur commun, compte pour un degrĂ©. Art. 35. – Les parents de l’un des deux conjoints sont les alliĂ©s de l’autre conjoint, dans la mĂȘme ligne et au mĂȘme degrĂ©. Art. 36. – Le domicile de tout AlgĂ©rien est le lieu oĂč se trouve son habitation principale. A dĂ©faut, la rĂ©sidence habituelle en tient lieu. Art. 37. – Le lieu oĂč la personne exerce son commerce ou sa profession, est considĂ©rĂ© comme un domicile spĂ©cial pour les affaires qui se rapportent Ă  ce commerce ou Ă  cette profession. Art. 38. – Le mineur, l’interdit, le disparu et l’absent ont pour domicile celui de leur reprĂ©sentant lĂ©gal. Toutefois, le mineur qui a atteint 18 ans et les personnes qui lui sont assimilĂ©es, ont un domicile propre, pour tout ce qui a trait aux actes qu’ils sont lĂ©galement capables d’accomplir. Art. 39. – On peut Ă©lire un domicile spĂ©cial pour l’exĂ©cution d’un acte juridique dĂ©terminĂ©. L’élection de domicile doit ĂȘtre prouvĂ©e par Ă©crit. Le domicile Ă©lu pour l’exĂ©cution d’un acte juridique sera considĂ©rĂ© comme domicile pour tout ce qui se rattache Ă  cet acte, y compris la procĂ©dure de l’exĂ©cution forcĂ©e, Ă  moins que l’élection ne soit expressĂ©ment limitĂ©e Ă  certains actes dĂ©terminĂ©s. Art. 40. – Toute personne majeure jouissant de ses facultĂ©s mentales et n’ayant pas Ă©tĂ© interdite, est pleinement capable pour l’exercice de ces droits civils. La majoritĂ© est fixĂ©e Ă  19 ans rĂ©volus. Art. 41. – L’exercice d’un droit est considĂ©rĂ© comme abusif dans les cas suivants - s’il a lieu dans le seul but de nuire Ă  autrui, - s’il tend Ă  la satisfaction d’un intĂ©rĂȘt dont l’importance est minime par rapport au prĂ©judice qui en rĂ©sulte pour autrui, - s’il tend Ă  la satisfaction d’un intĂ©rĂȘt illicite. Art. 42. – La personne dĂ©pourvue de discernement Ă  cause de son jeune Ăąge ou par suite de sa faiblesse d’esprit ou de sa dĂ©mence, n’a pas la capacitĂ© d’exercer ses droits civils. Est rĂ©putĂ© dĂ©pourvu de discernement, l’enfant qui n’a pas atteint l’ñge de seize ans. Art. 43. – Celui qui a atteint l’ñge de discernement, sans ĂȘtre majeur, de mĂȘme que celui qui a atteint sa majoritĂ©, tout en Ă©tant prodigue ou frappĂ© d’imbĂ©cillitĂ©, ont une capacitĂ© limitĂ©e conformĂ©ment aux prescriptions de la loi. Art. 44. – Ceux qui sont complĂštement ou partiellement incapables, sont soumis, selon le cas, au rĂ©gime de l’administration lĂ©gale, de la tutelle ou de la curatelle dans les conditions et conformĂ©ment aux rĂšgles prescrites par la loi. Art. 45. – Nul ne peut renoncer Ă  sa capacitĂ© ou en modifier les conditions. Art. 46. – Nul ne peut renoncer Ă  sa libertĂ© individuelle. Art. 47. – Celui qui subit une atteinte illicite Ă  des droits inhĂ©rents Ă  sa personnalitĂ©, peut en demander la cessation et la rĂ©paration du prĂ©judice qui en sera rĂ©sultĂ©. Art. 48. – Celui dont le droit Ă  l’usage d’un nom est injustement contestĂ© ou dont le nom a Ă©tĂ© indĂ»ment portĂ© par un autre, peut demander la cessation de ce fait et la rĂ©paration du prĂ©judice subi. Chapitre II Des personnes morales Art. 49. – Les personnes morales sont - l’Etat, la wilaya, la commune, - les Ă©tablissements et offices publics dans les conditions dĂ©terminĂ©es par la loi, - les entreprises socialistes et les coopĂ©ratives, les associations et tout groupement auxquels la loi accorde la personnalitĂ© morale. Art. 50. – La personne morale jouit, dans les limites dĂ©terminĂ©es par la loi, de tous les droits, Ă  l’exclusion de ceux qui sont propres Ă  la personne physique. Elle a notamment - un patrimoine, - une capacitĂ© dans les limites dĂ©terminĂ©es dans l’acte constitutif ou Ă©tablies par la loi, - un domicile qui est le lieu oĂč se trouve le siĂšge de son administration. Les sociĂ©tĂ©s dont le siĂšge social se trouve Ă  l’étranger et qui exercent en AlgĂ©rie, sont rĂ©putĂ©es, au regard de la loi interne, avoir leur siĂšge en AlgĂ©rie, - un reprĂ©sentant pour exprimer sa volontĂ©, - le droit d’ester en justice. Art. 51. – La loi dĂ©termine dans quelles conditions les Ă©tablissements et organismes Ă©tatiques Ă©conomiques et sociaux, les groupements, tels que les associations et coopĂ©ratives, peuvent se constituer et acquĂ©rir la personnalitĂ© juridique ou la perdre. Art. 52. – Sous rĂ©serve des dispositions spĂ©ciales applicables aux Ă©tablissements Ă  caractĂšre administratif et aux entreprises socialistes, l’Etat, en cas de participation directe Ă  des rapports de droit civil, est reprĂ©sentĂ© par le ministre des finances.
Afind’entamer cette nouvelle annĂ©e avec sĂ©rĂ©nitĂ© il convient de souligner les changements majeurs en matiĂšre de procĂ©dure civile: La suppression du TGI et TI et crĂ©ation du Tribunal Judiciaire et de chambres de
TĂ©lĂ©charger le modĂšle [N°] Chambre [intitulĂ©] N° [X] Affaire [nom du demandeur] C/ [nom du dĂ©fendeur] Conclusions notifiĂ©es le [date] par RPVA Audience du [date] Ă  [heure] POUR [Si personne physique] Monsieur ou Madame [nom, prĂ©nom], nĂ© le [date], de nationalitĂ© [pays], [profession], demeurant Ă  [adresse] [Si personne morale] La sociĂ©tĂ© [raison sociale], [forme sociale], au capital social de [montant], immatriculĂ©e au Registre du Commerce et des SociĂ©tĂ©s de [ville] sous le numĂ©ro [
], dont le siĂšge social est sis [adresse], agissant poursuites et diligences de ses reprĂ©sentants lĂ©gaux domiciliĂ©s, en cette qualitĂ©, audit siĂšge DEMANDEUR/DÉFENDEUR Ayant pour avocat constituĂ© MaĂźtre [nom, prĂ©nom], Avocat inscrit au Barreau de [ville], y demeurant [adresse] Au cabinet duquel il est fait Ă©lection de domicile [Si postulation] Ayant pour avocat plaidant MaĂźtre [nom, prĂ©nom], Avocat inscrit au Barreau de [ville], y demeurant [adresse] CONTRE [Si personne physique] Monsieur ou Madame [nom, prĂ©nom], nĂ© le [date], de nationalitĂ© [pays], [profession], demeurant Ă  [adresse] [Si personne morale] La sociĂ©tĂ© [raison sociale], [forme sociale], au capital social de [montant], immatriculĂ©e au Registre du Commerce et des SociĂ©tĂ©s de [ville] sous le numĂ©ro [
], dont le siĂšge social est sis [adresse], agissant poursuites et diligences de ses reprĂ©sentants lĂ©gaux domiciliĂ©s, en cette qualitĂ©, audit siĂšge DEMANDEUR/DÉFENDEUR Ayant pour avocat constituĂ© MaĂźtre [nom, prĂ©nom], Avocat inscrit au Barreau de [ville], y demeurant [adresse] Au cabinet duquel il est fait Ă©lection de domicile [Si postulation] Ayant pour avocat plaidant MaĂźtre [nom, prĂ©nom], Avocat inscrit au Barreau de [ville], y demeurant [adresse] EN PRÉSENCE DE [Si personne physique] Monsieur ou Madame [nom, prĂ©nom], nĂ© le [date], de nationalitĂ© [pays], [profession], demeurant Ă  [adresse] [Si personne morale] La sociĂ©tĂ© [raison sociale], [forme sociale], au capital social de [montant], immatriculĂ©e au Registre du Commerce et des SociĂ©tĂ©s de [ville] sous le numĂ©ro [
], dont le siĂšge social est sis [adresse], agissant poursuites et diligences de ses reprĂ©sentants lĂ©gaux domiciliĂ©s, en cette qualitĂ©, audit siĂšge DEMANDEUR/DÉFENDEUR Ayant pour avocat constituĂ© MaĂźtre [nom, prĂ©nom], Avocat inscrit au Barreau de [ville], y demeurant [adresse] Au cabinet duquel il est fait Ă©lection de domicile [Si postulation] Ayant pour avocat plaidant MaĂźtre [nom, prĂ©nom], Avocat inscrit au Barreau de [ville], y demeurant [adresse] PLAISE AU JUGE DE LA MISE EN ÉTAT Suivant exploit d’huissier de justice dĂ©livrĂ© en date du [date], [IdentitĂ© du demandeur] a attrait [identitĂ© du ou des dĂ©fendeurs] devant le Tribunal de cĂ©ans aux fins de voir [Énoncer le dispositif de l’assignation] Toutefois, le Tribunal de cĂ©ans est incompĂ©tent pour connaĂźtre de la demande qui il est adressĂ©e ainsi qu’il le sera dĂ©montrĂ© ci-aprĂšs. I RAPPEL DES FAITS Exposer les faits de façon synthĂ©tique et objective, tel qu’ils pourraient ĂȘtre Ă©noncĂ©s dans le jugement Ă  intervenir Chaque Ă©lĂ©ment de fait doit, en toute rigueur, ĂȘtre justifiĂ© au moyen d’une piĂšce visĂ©e dans le bordereau joint en annexe, numĂ©rotĂ©e et communiquĂ©e Ă  la partie adverse et au juge II DISCUSSION A In limine litis, sur l’incompĂ©tence du Tribunal En droit L’article 771, 1° du CPC dispose que lorsque la demande est prĂ©sentĂ©e postĂ©rieurement Ă  sa dĂ©signation, le juge de la mise en Ă©tat est, jusqu’à son dessaisissement, seul compĂ©tent, Ă  l’exclusion de toute autre formation du tribunal, pour [
] statuer sur les exceptions de procĂ©dure, les demandes formĂ©es en application de l’article 47 et sur les incidents mettant fin Ă  l’instance ; les parties ne sont plus recevables Ă  soulever ces exceptions et incidents ultĂ©rieurement Ă  moins qu’ils ne surviennent ou soient rĂ©vĂ©lĂ©s postĂ©rieurement au dessaisissement du juge ». Il ressort de cette disposition que le Juge de la mise en Ă©tat est investi du pouvoir de connaĂźtre des exceptions de procĂ©dure. L’article 73 du CPC dĂ©finit l’exception de procĂ©dure comme tout moyen qui tend soit Ă  faire dĂ©clarer la procĂ©dure irrĂ©guliĂšre ou Ă©teinte, soit Ă  en suspendre le cours. » Au nombre des exceptions de procĂ©dure figurent notamment l’exception d’incompĂ©tence rĂ©gie par les articles 75 Ă  91 du Code de procĂ©dure civile. Le moyen tirĂ© de l’incompĂ©tence consiste Ă  contester Ă  la juridiction saisie Soit sa compĂ©tence matĂ©rielle Soit sa compĂ©tence territoriale a IncompĂ©tence et dĂ©faut de pouvoir L’incompĂ©tence ne doit pas ĂȘtre confondue avec le dĂ©faut de pouvoir du Juge. Une juridiction peut avoir Ă©tĂ© valablement saisie par une partie, sans pour autant ĂȘtre investie du pouvoir de trancher le litige. Tel sera le cas du Juge des rĂ©fĂ©rĂ©s qui, nonobstant les rĂšgles qui rĂ©gissent sa compĂ©tence matĂ©rielle et territoriale, ne dispose pas du pouvoir de statuer au principal Tel sera encore le cas du Juge-commissaire dont le pouvoir est limitĂ© Ă  la vĂ©rification des crĂ©ances, de sorte qu’il lui est interdit de statuer sur leur validitĂ© Une Juridiction peut, Ă  l’inverse, ĂȘtre pleinement investie du pouvoir de trancher une question qui lui est soumise, sans pour autant ĂȘtre matĂ©riellement ou territorialement compĂ©tente pour statuer. Tel sera le cas du Tribunal de grande instance qui dispose du pouvoir de statuer au principal tout en Ă©tant incompĂ©tent pour se prononcer sur un litige de nature commerciale Il en va de mĂȘme pour le Tribunal de commerce de Paris qui dispose du pouvoir de statuer sur l’ouverture d’une procĂ©dure collective, mais qui n’est pas compĂ©tent pour se prononcer sur une procĂ©dure de redressement judiciaire ouverte Ă  l’encontre d’un dĂ©biteur dont le siĂšge social est situĂ© Ă  Marseille Tandis que l’incompĂ©tence relĂšve de la catĂ©gorie des exceptions de procĂ©dure, et qui donc ne peut ĂȘtre soulevĂ©e qu’in limine litis, le dĂ©faut de pouvoir est constitutif d’une fin de non-recevoir et peut, dĂšs lors, ĂȘtre soulevĂ©e en tout Ă©tat de cause. b Le dĂ©clinatoire d’incompĂ©tence L’article 75 du CPC dispose que s’il est prĂ©tendu que la juridiction saisie en premiĂšre instance ou en appel est incompĂ©tente, la partie qui soulĂšve cette exception doit, Ă  peine d’irrecevabilitĂ© D’une part, la motiver, soit exposer les raisons en fait et en droit qui fonde l’incompĂ©tence excipĂ©e D’autre part, dĂ©signer la juridiction compĂ©tence, faute de quoi l’incompĂ©tence soulevĂ©e est irrecevable c L’invocation de l’exception d’incompĂ©tence Le Code de procĂ©dure civile distingue selon que l’incompĂ©tence de la juridiction est soulevĂ©e par une partie ou par le juge. ==> L’incompĂ©tence soulevĂ©e par les parties L’exception d’incompĂ©tence n’étant envisagĂ©e par le Code de procĂ©dure civile que comme un moyen de dĂ©fense, le demandeur est irrecevable Ă  contester la compĂ©tence de la juridiction qu’il a saisie V. en ce sens Cass. 3e civ., 29 avr. 2002, n° 00-20973 ==> L’incompĂ©tence relevĂ©e par le Juge Il ressort des articles 76 et 77 du Code de procĂ©dure civile qu’il convient de distinguer selon que le juge soulĂšve d’office son incompĂ©tence matĂ©rielle ou territoriale L’incompĂ©tence matĂ©rielle Principe L’article 76 du CPC prĂ©voit que l’incompĂ©tence peut ĂȘtre prononcĂ©e d’office en cas de violation d’une rĂšgle de compĂ©tence d’attribution lorsque cette rĂšgle est d’ordre public ou lorsque le dĂ©fendeur ne comparaĂźt pas. Cette disposition prĂ©cise que l’incompĂ©tence matĂ©rielle ne peut l’ĂȘtre qu’en ces cas. Le pouvoir du juge de soulever d’office son incompĂ©tence matĂ©rielle reste une facultĂ©, de sorte qu’il ne le fera que si les intĂ©rĂȘts de l’une des parties sont menacĂ©s. En cas d’inaction du juge ou des parties, la compĂ©tence de la juridiction saisie pourra donc ĂȘtre prorogĂ©e TempĂ©rament L’alinĂ©a 2 de l’article 76 du CPC ajoute que devant la cour d’appel et devant la Cour de cassation, cette incompĂ©tence ne peut ĂȘtre relevĂ©e d’office que si l’affaire relĂšve de la compĂ©tence d’une juridiction rĂ©pressive ou administrative ou Ă©chappe Ă  la connaissance de la juridiction française. L’incompĂ©tence territoriale Principe Il ressort de l’article 76 du CPC que l’incompĂ©tence territoriale ne peut jamais ĂȘtre soulevĂ©e en matiĂšre contentieuse. En matiĂšre gracieuse, en revanche, l’article 77 prĂ©voit que le juge peut relever d’office son incompĂ©tence territoriale LĂ  encore, il ne s’agit que d’une simple facultĂ©, de sorte que la compĂ©tence territoriale de la juridiction saisie peut ĂȘtre prorogĂ©e en cas d’inaction du juge ou des parties. Exception Le juge ne peut relever d’office son incompĂ©tence territoriale en matiĂšre contentieuse que dans les litiges relatifs Ă  l’état des personnes, dans les cas oĂč la loi attribue compĂ©tence exclusive Ă  une autre juridiction ou si le dĂ©fendeur ne comparaĂźt pas. 2. En l’espĂšce [
] ==> En consĂ©quence, il est donc demandĂ© au Juge de la mise en Ă©tat, en application de [fondement lĂ©gale ou contractuel de l’incompĂ©tence], de dĂ©clarer in limine litis le Tribunal de grande instance de [ville] incompĂ©tent au profit de [juridiction compĂ©tente]. B Sur les frais irrĂ©pĂ©tibles et les dĂ©pens Compte tenu de ce qu’il serait inĂ©quitable de laisser Ă  la charge de [nom du demandeur] les frais irrĂ©pĂ©tibles qu’il a Ă©tĂ© contraint d’exposer en justice aux fins de dĂ©fendre ses intĂ©rĂȘts et faire valoir ses droits, il est parfaitement fondĂ© Ă  solliciter la condamnation de [nom du dĂ©fendeur] au paiement de la somme de [montant] au titre de l’article 700 du Code de procĂ©dure civile, outre les entiers dĂ©pens. Les piĂšces justificatives visĂ©es par le requĂ©rant sont Ă©numĂ©rĂ©es dans le bordereau annexĂ© aux prĂ©sentes Ă©critures. Vu les articles 763 et 770 du Code de procĂ©dure civile Vu [fondement lĂ©gale ou contractuel de l’incompĂ©tence] Vu la jurisprudence Vu les piĂšces versĂ©es au dĂ©bat Il est demandĂ© au Juge de la mise en Ă©tat prĂšs le Tribunal de Grande Instance [ville] de Rejetant toutes fins, moyens et conclusions contraires, I In limine litis DÉCLARER le Tribunal de grande instance de [ville] incompĂ©tent au profit de [juridiction compĂ©tente] En consĂ©quence [Si l’affaire relĂšve de la compĂ©tence de la compĂ©tence des juridictions civiles ou commerciales] RENVOYER l’affaire devant le [Juridiction compĂ©tente] Ă  qui il appartiendra de convoquer les parties ou fixer une date d’audience [Si l’affaire relĂšve de la compĂ©tence d’une juridiction rĂ©pressive, administrative, arbitrale ou Ă©trangĂšre] RENVOYER les parties Ă  mieux se pourvoir II A titre subsidiaire ENJOINDRE les parties de conclure au fond III En tout Ă©tat de cause CONDAMNER [nom de l’adversaire] au paiement de la somme de [montant] au titre de l’article 700 du Code de procĂ©dure civile CONDAMNER [nom de l’adversaire] aux entiers dĂ©pens, dont distraction au profit de MaĂźtre [identitĂ© de l’avocat concernĂ©], avocat, en application de l’article 699 du Code de procĂ©dure civile [OU] RÉSERVER les dĂ©pens Le [Date] SIGNATURE DE L’AVOCAT SOUS TOUTES RÉSERVES ET CE AFIN QU’ILS N’EN IGNORENT Bordereau rĂ©capitulatif des piĂšces visĂ©es au soutien des prĂ©sentes conclusions
art. 47 du Code de ProcĂ©dure Civile) Un arrĂȘt de la Cour de Cassation du 18 octobre 2012 (Cass. 2Ăš Civ., 18 octobre 2012, n° 11-22374, sera publiĂ© au Bulletin) fait l’objet RĂ©sumĂ© du document L'arrĂȘt rendu par la DeuxiĂšme Chambre civile, le 18 octobre 2012 consacre l'application extensive du renvoi de l'article 47 du Code de ProcĂ©dure civile en censurant la Cour d'appel qui l'avait dĂ©clarĂ© inapplicable hors du cas oĂč l'auxiliaire de justice est partie au litige pour dĂ©fendre son intĂ©rĂȘt personnel, soit dans la configuration procĂ©durale oĂč cet auxiliaire, le bĂątonnier de l'ordre de la juridiction qu'il avait saisie, en l'espĂšce, figurait Ă  l'instance en qualitĂ© de reprĂ©sentant de sa profession pour y dĂ©fendre l'intĂ©rĂȘt de celle-ci. Le bĂątonnier du Conseil de l'Ordre du barreau de ChambĂ©ry agissant en qualitĂ© de reprĂ©sentant de sa profession ordinale, a assignĂ© en rĂ©fĂ©rĂ© une personne au motif que celle-ci aurait exercĂ© illĂ©galement une activitĂ© juridique et de reprĂ©sentation. Or, la dĂ©fenderesse demanda le renvoi du dossier par application de l'article 47 CPC, renvoi qui lui fut refusĂ© par la cour d'appel de ChambĂ©ry au motif que les conditions d'application de ce texte n'Ă©taient pas rĂ©unies, le bĂątonnier comparaissant non pour dĂ©fendre un intĂ©rĂȘt personnel mais en qualitĂ© de reprĂ©sentant d'un groupement d'auxiliaires de justice, le barreau, dĂ©fendant ici son monopole dans l'exercice de la profession d'avocat, et donc un intĂ©rĂȘt supĂ©rieur dont la mĂ©connaissance relĂšve plus d'un contentieux objectif que d'un litige privĂ©. À quoi la haute juridiction objecte qu'il est indiffĂ©rent que l'auxiliaire de justice comparaisse pour dĂ©fendre l'intĂ©rĂȘt collectif de la profession d'avocat. [...] AprĂšs avoir exposĂ© le contenu textuel de l'article 47 CPC, on pourra rappeler ce qu'il faut entendre par auxiliaire de justice et dire que la gĂ©nĂ©ralitĂ© du terme englobe aussi bien les avocats que les autres auxiliaires chargĂ©s d'une mission d'administration de la justice administrateurs judiciaires, huissiers, mandataires judiciaires et liquidateurs, etc. A contrario, seront Ă©cartĂ©s notaires, experts judiciaires et greffiers du tribunal de commerce. Ensuite, prĂ©ciser que le fait que le magistrat ou l'auxiliaire qui comparaisse en son nom personnel ou comme reprĂ©sentant d'une autre personne, physique ou morale, assumant une mission de reprĂ©sentation ad agendum, exerçant donc vĂ©ritablement le droit d'agir et figurant Ă  ce titre Ă  la procĂ©dure et non en qualitĂ© de simple mandataire ad litem, est indiffĂ©rent, l'article 47 pouvant ĂȘtre invoquĂ© dĂšs lors que sa prĂ©sence est susceptible de priver son adversaire des garanties objectives d'impartialitĂ© que la loi lui octroie ... Sommaire Texte Ă©tudiĂ©IntroductionI Le renvoi de l'article 47 CPC et sa justification A. Conditions d'application du renvoi de l'article 47 CPC relativement Ă  la personne de l'auxiliaire de justiceB. La justification de la rĂšgleII L'application de l'article 47 CPC au cas oĂč l'auxiliaire de la juridiction agit en qualitĂ© de reprĂ©sentant de l'intĂ©rĂȘt de la professionA. Le renvoi de l'article 47 doit-il ĂȘtre rĂ©servĂ© au cas oĂč l'auxiliaire comparaissant dĂ©fend un intĂ©rĂȘt personnel ?B. Discussion de la solution extensive retenue par la 2Ăšme Chambre civileConclusion Extraits [...] Discussion de la solution extensive retenue par la DeuxiĂšme Chambre civile On a dit prĂ©cĂ©demment que la Cour de cassation appliquait l'article 47 lorsque l'auxiliaire de justice comparait en qualitĂ© de reprĂ©sentant ad agendum d'une autre personne. Il faut en dĂ©duire que la qualitĂ© de partie, qui est un rĂŽle procĂ©dural et ne se confond pas avec la titularitĂ© de l'action en justice suffit pour mettre en jeu le principe du renvoi de l'article 47. Mais s'agissant de l'intĂ©rĂȘt portĂ© par le bĂątonnier, il faut d'abord remarquer que l'article 47 vise un cas de figure trĂšs diffĂ©rent des cas de suspicion lĂ©gitime de l'article 341 CPC. [...] [...] Ainsi en va‐t-il de tous les cas de l'article 341 Ă  compter du second dans la liste. Il suffit en fait que l'intĂ©rĂȘt, fut-il indirect, d'une personne liĂ©e au juge par un lien familial, hiĂ©rarchique, financier, etc., soit susceptible de peser dans la balance, pour justifier sa rĂ©cusation. S'il n'est donc pas nĂ©cessaire que l'intĂ©rĂȘt portĂ© par l'auxiliaire soit son intĂ©rĂȘt propre, comme l'a admis la DeuxiĂšme Chambre civile dans le cas oĂč celui‐ci agit es-qualitĂ©s de reprĂ©sentant lĂ©gal d'une personne morale, du moins pourrait-on penser que cette jurisprudence ne doit pas ĂȘtre Ă©tendue au cas oĂč l'intĂ©rĂȘt dĂ©fendu n'est pas l'intĂ©rĂȘt d'une personne physique ou morale, mais un intĂ©rĂȘt collectif voire l'intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral. [...] [...] La justification de la rĂšgle L'article 47 est, avec les procĂ©dures de rĂ©cusation et de renvoi des articles 341 et suivants du CPC, l'un des moyens procĂ©duraux offerts au justiciable afin de lui garantir l'impartialitĂ© du tribunal devant lequel il comparait. En l'espĂšce, le renvoi Ă©tait demandĂ© par le dĂ©fendeur assignĂ©. On observera que bien que le texte figure parmi les dispositions relatives aux rĂšgles communes de compĂ©tence, la demande de renvoi n'est pas assujettie au rĂ©gime du dĂ©clinatoire de compĂ©tence qui est une exception de procĂ©dure et peut ĂȘtre prĂ©sentĂ©e aprĂšs avoir conclu au fond et mĂȘme en cause d'appel sans avoir Ă  passer par la voie du contredit Cass. 2e civ fĂ©vrier 1995, 93‐14317 Bull. [...] [...] Le renvoi de l'article 47 doit-il ĂȘtre rĂ©servĂ© au cas oĂč l'auxiliaire comparaissant dĂ©fend un intĂ©rĂȘt personnel ? Si l'on considĂšre que l'impartialitĂ© se confond avec l'absence de conflit ou de confusion d'intĂ©rĂȘt entre l'une des parties et le ou les juges appelĂ©s Ă  statuer sur l'affaire, ce qu'exprime l'adage nul ne saurait ĂȘtre juge et partie il faut rĂ©server le renvoi au cas oĂč l'auxiliaire visĂ© par la demande de renvoi comparait en son nom propre. De fait, si l'on rapproche l'article 47 de l'article 341, le dĂ©nominateur commun de tous les motifs de mise en cause de l'impartialitĂ© du juge ou du tribunal est l'existence d'un intĂ©rĂȘt personnel en dehors du cas oĂč le motif tient Ă  la nĂ©cessitĂ© d'assurer l'impartialitĂ© fonctionnelle du juge ayant dĂ©jĂ  connu de l'affaire. [...] [...] Si la rĂ©cusation d'un juge peut ĂȘtre demandĂ©e pour des motifs autres que l'existence d'un intĂ©rĂȘt personnel au litige, doit‐il en aller de mĂȘme du renvoi demandĂ© en raison de la prĂ©sence au procĂšs d'un auxiliaire de justice ? C'est prĂ©cisĂ©ment ce Ă  quoi devait rĂ©pondre cet arrĂȘt de censure dans une affaire oĂč l'auxiliaire comparaissant en qualitĂ© de demandeur agissait au nom de l'intĂ©rĂȘt de sa profession. II L'application de l'article 47 CPC au cas oĂč l'auxiliaire de la juridiction agit en qualitĂ© de reprĂ©sentant de l'intĂ©rĂȘt de la profession discussion Ainsi, on pourra discuter en premier lieu la question de savoir si la demande de renvoi, du fait de l'autonomie de l'article 47, doit ĂȘtre rĂ©servĂ©e exclusivement et strictement au cas oĂč l'auxiliaire comparaissant dĂ©fend un intĂ©rĂȘt personnel, avant de discuter la solution extensive retenue par la DeuxiĂšme Chambre civile. [...]
2On sait qu’en application de l'article 47 du Code de procĂ©dure civile, le renvoi de l'affaire devant une juridiction limitrophe peut ĂȘtre demandĂ© lorsqu'un auxiliaire de justice est

Comment saisir le juge ?RĂ©pondez aux questions successives et les rĂ©ponses s’afficheront automatiquementCas gĂ©nĂ©ralLe juge de l'exĂ©cution est saisi par assignation titleContent dĂ©livrĂ©e par un commissaire de justice anciennement huissier de justice et commissaire-priseur judiciaire.À savoir saisir le juge de l'exĂ©cution n'empĂȘche pas l'exĂ©cution de la dĂ©cision sauf en matiĂšre de saisie-vente. Dans la pratique, les commissaires de justice prĂ©fĂšrent suspendre les opĂ©rations d'exĂ©cution en attendant la dĂ©cision du un avocat ?L'avocat est est possible de se dĂ©fendre seul dans les cas suivants Saisies des rĂ©munĂ©rationsCrĂ©ances infĂ©rieures Ă  10 000 €Expulsions locativesLa partie qui souhaite se faire reprĂ©senter par une autre personne Ă  l'audience doit lui donner un pouvoir. Le pouvoir est un document Ă©crit qui permet Ă  la personne dĂ©signĂ©e de se prĂ©senter Ă  l'audience et de prendre la parole au nom de la partie partie peut rĂ©diger un pouvoir en dĂ©signant une des personnes suivantes Personne avec qui elle vit en couple titleContentSon pĂšre ou sa mĂšreSon enfantSon frĂšre ou sa sƓurSon neveu ou sa niĂšcePersonne attachĂ©e Ă  son service personnel ou Ă  son entreprise le juriste de l'entreprise ou un employĂ© de maison par exempleLe reprĂ©sentant dĂ©signĂ© doit ĂȘtre majeur. Il doit se prĂ©senter Ă  l'audience avec le pouvoir et une piĂšce d' pouvez utiliser le modĂšle suivant ModĂšle de pouvoir de reprĂ©sentation en justiceÀ savoir l'État, les rĂ©gions, les dĂ©partements, les communes et leurs Ă©tablissements publics peuvent ĂȘtre reprĂ©sentĂ©s par un fonctionnaire, un agent de leur administration ou par un se dĂ©roule l'audience ?L'audience devant le juge de l'exĂ©cution est orale, c'est-Ă -dire que les parties expriment leurs demandes et leurs arguments la procĂ©dure, une partie peut toujours prĂ©senter ses arguments par Ă©crit au juge. Dans ce cas, elle doit justifier les avoir envoyĂ©s Ă  son adversaire, avant l'audience par lettre recommandĂ©e avec avis de des dĂ©bats, si les parties en font la demande, elles peuvent ĂȘtre dispensĂ©es de se prĂ©senter Ă  une prochaine sont les dĂ©cisions que peut prendre le juge de l'exĂ©cution ?VĂ©rifierLe juge de l'exĂ©cution vĂ©rifie que le titre exĂ©cutoire titleContent est conforme Ă  la loi. Il peut prononcer la nullitĂ© ou la mainlevĂ©e titleContent d'une saisie irrĂ©guliĂšre. Dans tous les cas, le juge prononce une dĂ©cision de des dĂ©laisLe juge de l'exĂ©cution peut accorder des dĂ©lais par exemple dans une procĂ©dure de saisie vente ou d' peut dĂ©cider un report ou un Ă©chelonnement des sommes auxquelles le dĂ©biteur a Ă©tĂ© condamnĂ© dans la limite de 24 moisAmĂ©nager une dĂ©cisionLe juge de l'exĂ©cution peut Ă©galement diminuer le taux d'intĂ©rĂȘt sans que celui-ci soit infĂ©rieur au taux d'intĂ©rĂȘt juge peut autoriser une mesure conservatoire titleContent qui permet au crĂ©ancier d'empĂȘcher le dĂ©biteur de vendre ses biens ou de vider ses comptes juge de l'exĂ©cution peut prononcer une astreinte titleContent envers celui qui n'exĂ©cute pas une obligation. Il peut Ă©galement le condamner Ă  des dommages et intĂ©rĂȘts titleContent si la non exĂ©cution cause un que le juge de l'exĂ©cution ne peut pas prendreLe juge de l'exĂ©cution ne peut pas modifier ou annuler une ne peut pas accorder de dĂ©lais de paiement en matiĂšre de pension alimentaire ou de prestation faire quand la dĂ©cision est rendue ?Les dĂ©cisions rendues par le juge de l'exĂ©cution sont notifiĂ©es titleContent par le greffe aux parties par lettre recommandĂ©e avec accusĂ© de est possible de faire signifier titleContent la dĂ©cision par un commissaire de justice si la notification par le greffe a Ă©chouĂ© c'est-Ă -dire si la lettre recommandĂ©e avec accusĂ© de rĂ©ception revient au tribunal.Les dĂ©cisions du juge de l'exĂ©cution sont exĂ©cutoires par provision, c'est-Ă -dire qu'elles peuvent ĂȘtre exĂ©cutĂ©es mĂȘme si un appel ou un pourvoi en cassation est dĂ©cision du juge de l'exĂ©cution qui autorise une mesure conservatoire a une durĂ©e de validitĂ© de 3 mois Ă  compter de l' sont les voies de recours ?L'appel est possible contre les dĂ©cisions du juge de l' est obligatoire pour faire appel et pour suivre la procĂ©dure devant la cour d' doit ĂȘtre formĂ© dans les 15 jours Ă  compter de la notification titleContent de la dĂ©cision, c'est-Ă -dire Ă  la rĂ©ception de la lettre la lettre recommandĂ©e n'a pas pu ĂȘtre remise au destinataire, il faut procĂ©der Ă  la signification titleContent. Dans ce cas, le dĂ©lai d'appel court Ă  compter de la remise de la signification dĂ©cision s'exĂ©cute mĂȘme en cas d'appel.

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