Bonjour je dois relier mon abri de jardin à ma maison pour le courant il y a plus ou moins 30 cable est dans une gaine rouge de 40mm. Mais chez moi c est de l'argile ... et très très dur !!! je voudrais faire une tranchée de +- 10 voir 15 cm et l'enterrer de 20 cm ... quelqu un aurai une idée pour faire cette trancée a moindre cout et si possible sans mini pelle ???? Ps je ne cherche pas à enlever la terre directement mais au moins à la ramolire ... je pensais à un motoculteur ou quelque chose de se type. merci Dernière édition par un modérateur 28 Mai 2011 bonjour la pelle et pioche ou motoculteur avec une fraise ,ce qui va remuer la terre et casser les mottes sur environ 30cm de large et 25cm de profondeur ensuite la pelle voilà une solution bon courage Louez une trancheuse, qui va creuser une tranchée étroite et profonde. Salut, viens de passer à l'oeuvre.. tranchée de 17 m de long, 80 cm de profondeur dans de l'argile Aucune possibilité pour moi d'amener une trancheuse, pelleteuse..etc.. -> une pioche & une bêche Le plus dur sont les 20 premiers cm à la pioche, ensuite la bêche suffit. Courage! En priant de ne pas tomber sur de l'argile.
Creuserune tranchée de 41m de long sur 10 cm de large sur 20 cm de profondeur. Afin de raccorder la fibre nous avons besoin d'un coup de main pour creuser une tranchée pour enfouir une gaine de diamètre 40mm. Le sol est un mélange de graviers et de terre. Il y a des outls sur place si vous le souhaitez.
Publié le 17 janvier 2022 à 19h56, mis à jour le 18 janvier 2022 à 10h16Source JT 20h SemainePRATIQUE - Tous les soirs, le JT de TF1 se penche sur les interrogations des téléspectateurs dans sa rubrique "Le 20H vous répond". Au menu, des questions argent liées au JT de TF1 passe chaque soir au crible les interrogations des téléspectateurs dans "Le 20H vous répond". Garance Pardigon répond à leurs questions, liées au logement, des travaux d'entretien au raccordement à la fibre, sur le plateau de Gilles Bouleau dans la vidéo en tête de cet article. Je veux faire installer la fibre à mon domicile. Qui paye le raccordement, mon opérateur ou moi ? Les deux ! Votre opérateur le prend en charge jusqu’à votre palier d’appartement ou de maison, "par exemple s’il faut creuser une tranchée dans le trottoir", précise la Fédération Française des Télécoms, qui détaille ici toutes les étapes du déploiement de la fibre optique chez vous. En revanche, le raccordement final, du palier jusqu’à vos équipements, est en principe à vos frais… "sauf si votre contrat le prévoit". Il faut donc bien relire les conditions générales de vente. Un locataire doit-il prévenir son propriétaire ? Oui, nous dit Cécile Nlend, juriste pour "Pour autant, il ne peut pas s’opposer à votre raccordement, au nom du droit d’installation de la fibre" prévu par ce décret du 15 janvier 2009. Que se passe-t-il en copropriété ? Sur ce point, c’est l’Association Nationale pour l’Information sur le Logement ANIL qui nous répond "Si l’immeuble n’est pas raccordé, la question du raccordement doit être votée en assemblée générale, à la majorité absolue de l’article 25, c’est-à -dire que la résolution devra recueillir la majorité des voix de tous les copropriétaires de l'immeuble présents, représentés et absents." Tout copropriétaire ou locataire peut demander l’inscription de cette question à l’ordre du jour. À noter que si le quartier n’est pas raccordé, il est possible de contacter l’opérateur le plus proche pour que la fibre soit étendue jusqu’à l’immeuble. L’opérateur n’a pas l’obligation d’accepter cette demande. Pour savoir si votre rue est fibrée ou s’il est prévu qu’elle le soit, l’Arcep propose cette carte aussiLe syndic de mon immeuble a engagé des travaux sans m'en informer et me présente la facture. Dois-je la payer ? Oui, s’il y avait urgence. Par exemple, si la chaudière de votre immeuble est tombée en panne et qu'il a fallu changer une pièce, nous précise Cécile Nlend, juriste pour Mais c’est la seule exception. L’Association Nationale pour l’Information sur le Logement ANIL détaille ainsi le cadre général "En copropriété, les travaux sont obligatoirement votés en assemblée générale des copropriétaires, qui se tient généralement une fois par an." Le syndic ne peut engager de travaux pour le compte des copropriétaires, sans avoir au préalable recueilli un vote favorable en assemblée générale. C'est également à cette occasion que les copropriétaires votent le devis de l’entreprise chargée de réaliser des travaux. L’entretien des gouttières est-il à la charge du propriétaire ou du locataire ? Cela dépend de ce que vous entendez par "entretien". Pour de petites réparations et du nettoyage au quotidien, c’est au locataire de s’en occuper et de payer. Pas de débat possible. Un décret datant de 1987 en précise la règle, qui s’applique à tous les petits travaux indispensables à l’entretien de votre location. L’Association Nationale pour l’Information sur le Logement ANIL les liste ici. En l’occurrence, s'agissant des gouttières "les conduits de descentes d’eaux pluviales, chéneaux et gouttières doivent être dégorgés par le locataire", peut-on lire sur le site du service public. Attention, en revanche, le remplacement d’une gouttière vétuste est à la charge du propriétaire. "Et si elle menace de vous tomber sur la tête, sa responsabilité peut être engagée", ajoute Cécile Nlend, juriste pour le site Envoyez vos questions en vidéoSi vous avez vous-même une question, vous pouvez la poser sur les réseaux sociaux avec le hashtag le20HVousRepond, ou directement par mail à une adresse dédiée, le20Hvousrepond ou désormais en vidéo en vous rendant sur notre page dédiée. Autre nouveauté, pendant cette rubrique du 20H, vous voyez apparaître un QR Code en bas de l'écran vous pourrez alors le flasher et accéder directement depuis votre téléphone portable ou tablette à un article PardigonSur lemême thèmeToutTF1 InfoLes + lusDernière minuteTendanceVoir plus d'actualités Voir plus d'actualités Voir plus d'actualités
Ensouscrivant à notre offre spéciale, le client économise les frais de génie-civile consistant à creuser une tranchée sur sa parcelle pour y dérouler la fibre optique. Une fois la fouille remblayée, nous relions, au travers d’une armoire intermédiaire, le réseau public à un boitier de connexion sur un mur extérieur de la maison
A quel moment lancer les travaux ? Les travaux de création sont à mener de préférence durant la période la plus froide et sèche de l’année. Un sol gelé sera moins tassé par les engins de chantier et la faune sera moins dérangée. Mais si le travail se fait à la main à la pelle, un sol gelé ou un sol très sec sera trop dur à creuser. À défaut, travailler après fin août jusqu’à fin octobre suivant les régions, avant les périodes plus humides durant lesquelles la mare pourra se remplir naturellement. Au besoin prévoir un accès spécifique pour les engins, temporairement protégé dépôts de géotextile de protection par exemple. Utiliser du matériel adapté aux sols, pour éviter le tassement ou la dégradation des écoulements d’eau. Commencer le chantier quelques précautions à prendre Le cas échéant, attention de ne pas percer la couche d’argile*, qui peut être fine. Compacter le fond de la mare avec les outils, le godet de la pelleteuse, vos pieds et ceux de vos amis qui viendront vous aider ! et enlever les gros cailloux qui apparaissent. Cette étape est souvent plus importante qu’il n’y parait pour assurer une bonne retenue de l’eau. Historiquement, dans certaines régions, la création de mare et le travail de la glaise était l’occasion d’un projet collectif, entre voisins. Ne pas déposer les rémanents* dans les zones humides ou inondables et définir la zone de régalage* avant de commencer le chantier. La première couche superficielle est la plus riche en humus et contient de nombreuses graines elle pourra être utilisée pour les aménagements autour de la mare. Bien travailler la forme, en étant attentif aux bourrelets de curage* qui peuvent se former sur le pourtour du trou et qui peuvent dégrader le fonctionnement hydrologique prévu, les eaux de ruissellement faisant le tour ! La terre extraite peut servir à renforcer les berges, à créer un petit talus drainant l’eau de ruissellement vers la mare… Dans le cas d’un sol trop drainant, une imperméabilisation doit être envisagée, sauf dans le cas de mares alimentées par des eaux souterraines. L’utilisation d’argile*, disposée au fond de la mare sur au moins 30 cm d’épaisseur et bien tassée ou projetée est une solution classique assez naturelle, mais souvent incertaine compactage difficile, résultats souvent décevants. L’utilisation d’argile commercialisée bentonite est une option également, que ce soit en vrac ou en matelas géocomposite. Il est cependant également souvent difficile d’avoir une étanchéité satisfaisante, en particulier sur les sols très sableux. Mieux vaut réserver ces techniques sur des sols déjà limono-argileux*, pour renforcer une étanchéité un peu insuffisante. Sur les sols sableux et sablo-limoneux*, ou sur les sols calcaires fissurés et instables, une membrane est à privilégier. Attention, une imperméabilisation par une bâche n’est pas possible lorsque la mare est également alimentée par des eaux de nappes. La pression de l’eau souterraine sur la bâche entrainera un gonflement de celle-ci. Poser une bâche comment faire ? Si la pose d’une bâche est loin d’être une technique naturelle, elle est cependant très efficace. Le matériau à privilégier est l’EPDM, souple et assez solide, qui ne relargue pas de substances toxiques et a une durée de vie intéressante, surtout si elle est bien recouverte et non exposée au soleil. Son épaisseur minimale sera de 2 mm. Ne pas utiliser de PVC, de rouleau bitumé, d’enduit, de colles et tous autres produits susceptibles de relarguer des substances nocives, ou vieillissant mal. Les bâches plus fines risquent de se déchirer ou se percer. Poser successivement un lit de sable, une géomembrane protectrice, la bâche, une couche d’environ 10 cm de sable de rivière ou de la terre faiblement organique, voire de la fibre de coco agrafée sur les rives qui assurera un fonctionnement durable, en particulier si les rives sont en pente douce, évitant aux matériaux recouvrant la bâche de finir par glisser dans la mare. La présence de paliers limite également le risque d’avoir un glissement des matériaux, mais aussi de la bâche elle-même. Un grillage à poule peut être placé sous la bâche pour éviter sa perforation par des rongeurs. Ne pas oublier de tenir compte de toutes ces épaisseurs lorsque vous creuserez la mare ! Si c’est le bassin entier qui est à bâcher, les dimensions de bâche à prévoir sont celles de la surface de la mare, majorée de deux fois la profondeur pour chaque côté à laquelle on rajoutera quelques dizaines de centimètres de marge. Les bords de la bâche sont à enfouir par exemple dans une tranchée. Attention, ce n’est qu’une fois la mare remplie que la bâche se positionnera naturellement dans sa position définitive. Evitez par conséquent de couper les marges de la bâche ou de les arrimer avant que le tout ne soit stabilisé. Soyez patient ! L’imperméabilisation peut n’être réalisée que sur la partie centrale, plus profonde, laissant des berges inondables avec un pourtour formant une zone de débordement où s’installera une flore particulière. Cette partie centrale dont le maintien en eau est garanti permettra à la faune aquatique larves d’amphibiens, d’insectes aquatiques de survivre jusqu’à leur métamorphose. On veillera à ce que ce point bas collecte bien les animaux de la mare au fur et à mesure de l’assèchement et que ceux-ci ne puissent se retrouver piégés dans les flaques temporaires. Exemple de mare bâchée mal conçue les pentes sont trop fortes d’un côté, le recouvrement sableux a disparu à plusieurs endroits et la bâche va se dégrader. Petite et peu profonde, elle a rapidement été envahie par la végétation et les algues vertes. Un entretien est nécessaire. Photo C. Eggert Point de vigilance Eviter l’apport de matériaux provenant de site avec des espèces exotiques envahissantes Eviter d’importer des terres contaminées En cas d’utilisation de matériaux décoratifs, utiliser des matériaux neutres non traités pas de traverses de chemin de fer anciennes traitées au créosote ! Eviter de diffuser des particules fines boues, argiles dans les systèmes aquatiques à proximité Sensibiliser le maitre d’œuvre* et les ouvriers présents à vos exigences Vérifier le niveau des berges, le point le plus bas déterminera le niveau maximal d’eau dans la mare Si la mare risque de se remplir immédiatement durant la phase travaux, commencer par creuser la partie centrale les plus profondes et agrandir la mare progressivement par le pourtour Des relevés photographiques durant les différentes phases pourront servir d’archives Chantier en cours de création d’une mare. Un premier niveau a été creusé, puis une fosse pour rechercher la couche naturelle d’argile imperméable et déterminer quelle technique le projet devra mettre en œuvre. Photo C. Eggert Pour l’aménagement d’une mare avec une imperméabilisation bétonnée, voir le guide suisse en cliquant ici. Créer une mare temporaire est une option pouvant avoir un intérêt particulier. Nous vous conseillons la lecture du guide Suisse de Pro-Natura en cliquant ici. Retrouvez toutes les descriptions des mots avec un “*” dans le glossaire.
Pourobtenir le branchement "fibre" de ma maison. Les techniciens d'orange ont jugé impossible de faire passer la fibre dans le cable existant. Trompetait et trop vieux. Il faudrait creuser une tranchée de faible profondeur sur 60 m. Environ entre l'arrivée de la fibre dans l'impasse où j'agite à clapiers et ma villa. Précisions:
Merci pour la réponse, mais je reviens vers vous car SOGETREL me dit que le passage de la fibre du nouveau fourreau dans ma maison est effectué par le technicien . Pour le este tranchée, fourreau, regard c'est effectivement à ma charge cdlt
DAV5X.